Au menu, ce soir...
Il n’y a pas que l’éternité qui est longue ! Le plot de Torchwood saison 4 aussi…
Heureusement, les acteurs restants de la saison3 sont toujours aussi bons ; Jack, Gwen, Rhys, Andy… et les nouveaux pas mauvais. D’ailleurs, j’aimais particulièrement Vera, elle me manque déjà. Aussi, l’histoire est quand même bonne, remplie de politiquement incorrect et de vérités qui font mal sur les réactions humaines en situation de crise et de bouleversement… mais hélas, je la trouve longuette et décousue.
Tout part dans tous les sens, des questions restent sans réponse, des personnages cools sont fauchés en pleine enquête, des rebondissements qui tombent un peu à plat…
C’est pas que je me plaigne de la traditionnelle délicatesse de cette série, à peu près équivalente à la plénitude et la tendresse d’un coup de pied dans les couilles… (après tout, c’est Torchwood, quoi !) mais c’est dommage que l’histoire s’essouffle autant.
Pourquoi l’avoir faite en dix épisodes si vous avez du mal à remplir ?
Parce que voilà, l’épisode 4x06 et beaucoup d’éléments des épisodes précédents sentent un peu le remplissage.
Pourtant, c’était bien parti, ça avait du punch, ça tenait en haleine…
Je me suis même laissée aller à rêver que les responsables soient l’Agence du Temps ou quelque chose comme ça, au tout début mais… non. J’ai vite changé d’avis. Un peu déçue, j’avoue… depuis le temps qu’on nous parle de l’Agence, depuis Doctor Who !
L’influence américaine semble faire préférer le gore et les suspenses scénaristiques inutiles plutôt que le rythme enlevé et l’efficacité habituelle de Torchwood, même dans les pires conditions de travail. (cf : Children of Earth) Et ou l’histoire ne meurt pas à petit feu avec la patience et/ou l’attention du téléspectateur…
En général et malgré ses bons moments, ça me fait l’effet d’une co-écriture laborieuse où tout le monde essaye de s’adapter à tout le monde. Ca peut bien refléter l’espèce de choc culturel entre britanniques et américains mais ça en devient barbant, au bout du sixième épisode.
Il serait peut être temps de passer aux choses sérieuses, non ?
Des bouts d’histoires et d’intrigues entre deux bouts de cadavres vies des persos, pas toujours très concluants ni utiles (du moins pour l’instant), ça va voir à aller ! Au fait ! Venez en au fait !
Phicorp c’est les méchants, des pros du dissimulage de masse, à tel point que même les directeurs de l’entreprise savent rien de pour qui ils travaillent, c’est bon, on a compris ! Maintenant, stop les catégories 1, 2, 1000, 10 et les trépidantes aventures de miss Kitsinger au pays de Pedobear ; on aimerait tous avoir un peu plus qu’une pièce du puzzle à chaque -très long- épisode pas toujours très pertinent et pas mal répétitif. Pourquoi on parle plus des Soulless ? Ils ont servit à quoi, à part à foutre un malaise général et une ambiance spooky ? Qui était ce dude qui a attaqué Jack et Gwen dans le bâtiment de Phicorp avec ses fausses demi-révélations, dans un moment de pur foutage de gueule ; "Le grand méchant, c’est… PANPANPAN !"
Merci, dead!Rex… Grace à toi, on doit attendre encore trois loooooongs épisodes avant d’à nouveau espérer avoir un semblant d’éclairage sur toute l’affaire.
Donc, en résumé, on se doute bien que "The Blessing and C°" c’est des aliens puisque c’est LE sujet de la série jusqu’à maintenant et LA raison de la création de Torchwood, si on reste canon à "Doctor Who" et les trois précédentes saisons de "Torchwood". Mais, au moins, si ont avait le droit d’avoir assez d’infos (ou même de fausses pistes) pour se faire sa propre idée de téléspectateur, ça serait pas mal, aussi ! L’histoire de pouvoir gueuler de joie devant sa télé « Putain, je le savais ! » ou au contraire « Ah merde ! J’avais tout faux ! ». Ca nous éviterait d’avoir l’impression d’être là, quichés sur nos fauteuils à attendre qu’on veuille bien arrêter de nous faire mijoter.
Peut-être que des cerveaux plus aguerris ont trouvé des indices que je n’ai pas vu, trop horrifiée par les morts qui marchent la tête à l’envers, etc. Ou des esprits plus malins seront-ils allés chercher les divins spoilers quelque part sur le net, là où j’ai préféré me contenter de chercher les trailers de la semaine prochaine… Je suis peut-être plus impatiente que curieuse mais ça n’empêche que c’est frustrant de regarder une série ou d’épisodes en épisodes, rien ne se passe vraiment… C’est un peu comme regarder un film en aillant coupé le son, ou encore de regarder "Lost" ; on croit qu’on a comprit parce qu’on était attentif et en fait… non.
Sinon, dans un registre un peu plus savoureux au sens à peu près littéral, je me suis inscrite sur un site que j’avais découvert récemment par le app-store d’Apple. (Ca me pique les doigts d’écrire ça…)
Ce site s’adresse aux gourmets et gastronomes de tous poils et peut-être que certains le connaissent déjà : Food Reporter, où je suis Ripaye, bien entendu.
C’est une sorte de réseau social culinaire ; vous êtes allés dans un restau qui vous à plut ou qui au contraire vous a filé des boutons, faites le savoir avec une photo de votre plat, une note, un commentaire et une adresse. Au contraire, vous êtes plutôt un cuistot "à la maison", ça marche aussi et vous pouvez partager vos recettes, etc.
Alors, je sais pas encore bien comment ça marche, mais l’idée m’avait fait rire et m’avait bien plut quand j’avais trouvé l’application sur le store et je m’étais dit que je l’essayerai peut-être. Après avoir parlé recettes de cuisine avec des amis, j’ai décidé de me créer un compte aujourd’hui. Donc, du coup, ma découverte du site se résume à customizer mon profil et faire une tentative échouée de post avec un "faux plat", sans commentaire.
J’ai cuisiné une salade et des tranches de gigot, ce soir que j’ai prit en photo, juste pour voir comment ça fonctionne, hehehe.
Qui a dit qu’il fallait manger pour vivre ?
Pfff, sornettes.
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Heureusement, les acteurs restants de la saison3 sont toujours aussi bons ; Jack, Gwen, Rhys, Andy… et les nouveaux pas mauvais. D’ailleurs, j’aimais particulièrement Vera, elle me manque déjà. Aussi, l’histoire est quand même bonne, remplie de politiquement incorrect et de vérités qui font mal sur les réactions humaines en situation de crise et de bouleversement… mais hélas, je la trouve longuette et décousue.
Tout part dans tous les sens, des questions restent sans réponse, des personnages cools sont fauchés en pleine enquête, des rebondissements qui tombent un peu à plat…
C’est pas que je me plaigne de la traditionnelle délicatesse de cette série, à peu près équivalente à la plénitude et la tendresse d’un coup de pied dans les couilles… (après tout, c’est Torchwood, quoi !) mais c’est dommage que l’histoire s’essouffle autant.
Pourquoi l’avoir faite en dix épisodes si vous avez du mal à remplir ?
Parce que voilà, l’épisode 4x06 et beaucoup d’éléments des épisodes précédents sentent un peu le remplissage.
Pourtant, c’était bien parti, ça avait du punch, ça tenait en haleine…
Je me suis même laissée aller à rêver que les responsables soient l’Agence du Temps ou quelque chose comme ça, au tout début mais… non. J’ai vite changé d’avis. Un peu déçue, j’avoue… depuis le temps qu’on nous parle de l’Agence, depuis Doctor Who !
L’influence américaine semble faire préférer le gore et les suspenses scénaristiques inutiles plutôt que le rythme enlevé et l’efficacité habituelle de Torchwood, même dans les pires conditions de travail. (cf : Children of Earth) Et ou l’histoire ne meurt pas à petit feu avec la patience et/ou l’attention du téléspectateur…
En général et malgré ses bons moments, ça me fait l’effet d’une co-écriture laborieuse où tout le monde essaye de s’adapter à tout le monde. Ca peut bien refléter l’espèce de choc culturel entre britanniques et américains mais ça en devient barbant, au bout du sixième épisode.
Il serait peut être temps de passer aux choses sérieuses, non ?
Des bouts d’histoires et d’intrigues entre deux bouts de cadavres vies des persos, pas toujours très concluants ni utiles (du moins pour l’instant), ça va voir à aller ! Au fait ! Venez en au fait !
Phicorp c’est les méchants, des pros du dissimulage de masse, à tel point que même les directeurs de l’entreprise savent rien de pour qui ils travaillent, c’est bon, on a compris ! Maintenant, stop les catégories 1, 2, 1000, 10 et les trépidantes aventures de miss Kitsinger au pays de Pedobear ; on aimerait tous avoir un peu plus qu’une pièce du puzzle à chaque -très long- épisode pas toujours très pertinent et pas mal répétitif. Pourquoi on parle plus des Soulless ? Ils ont servit à quoi, à part à foutre un malaise général et une ambiance spooky ? Qui était ce dude qui a attaqué Jack et Gwen dans le bâtiment de Phicorp avec ses fausses demi-révélations, dans un moment de pur foutage de gueule ; "Le grand méchant, c’est… PANPANPAN !"
Merci, dead!Rex… Grace à toi, on doit attendre encore trois loooooongs épisodes avant d’à nouveau espérer avoir un semblant d’éclairage sur toute l’affaire.
Donc, en résumé, on se doute bien que "The Blessing and C°" c’est des aliens puisque c’est LE sujet de la série jusqu’à maintenant et LA raison de la création de Torchwood, si on reste canon à "Doctor Who" et les trois précédentes saisons de "Torchwood". Mais, au moins, si ont avait le droit d’avoir assez d’infos (ou même de fausses pistes) pour se faire sa propre idée de téléspectateur, ça serait pas mal, aussi ! L’histoire de pouvoir gueuler de joie devant sa télé « Putain, je le savais ! » ou au contraire « Ah merde ! J’avais tout faux ! ». Ca nous éviterait d’avoir l’impression d’être là, quichés sur nos fauteuils à attendre qu’on veuille bien arrêter de nous faire mijoter.
Peut-être que des cerveaux plus aguerris ont trouvé des indices que je n’ai pas vu, trop horrifiée par les morts qui marchent la tête à l’envers, etc. Ou des esprits plus malins seront-ils allés chercher les divins spoilers quelque part sur le net, là où j’ai préféré me contenter de chercher les trailers de la semaine prochaine… Je suis peut-être plus impatiente que curieuse mais ça n’empêche que c’est frustrant de regarder une série ou d’épisodes en épisodes, rien ne se passe vraiment… C’est un peu comme regarder un film en aillant coupé le son, ou encore de regarder "Lost" ; on croit qu’on a comprit parce qu’on était attentif et en fait… non.
Sinon, dans un registre un peu plus savoureux au sens à peu près littéral, je me suis inscrite sur un site que j’avais découvert récemment par le app-store d’Apple. (Ca me pique les doigts d’écrire ça…)
Ce site s’adresse aux gourmets et gastronomes de tous poils et peut-être que certains le connaissent déjà : Food Reporter, où je suis Ripaye, bien entendu.
C’est une sorte de réseau social culinaire ; vous êtes allés dans un restau qui vous à plut ou qui au contraire vous a filé des boutons, faites le savoir avec une photo de votre plat, une note, un commentaire et une adresse. Au contraire, vous êtes plutôt un cuistot "à la maison", ça marche aussi et vous pouvez partager vos recettes, etc.
Alors, je sais pas encore bien comment ça marche, mais l’idée m’avait fait rire et m’avait bien plut quand j’avais trouvé l’application sur le store et je m’étais dit que je l’essayerai peut-être. Après avoir parlé recettes de cuisine avec des amis, j’ai décidé de me créer un compte aujourd’hui. Donc, du coup, ma découverte du site se résume à customizer mon profil et faire une tentative échouée de post avec un "faux plat", sans commentaire.
J’ai cuisiné une salade et des tranches de gigot, ce soir que j’ai prit en photo, juste pour voir comment ça fonctionne, hehehe.
Qui a dit qu’il fallait manger pour vivre ?
Pfff, sornettes.
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