Amsterdam... pic et pic et colégram ?
Un petit moment déjà que je le sais : je vais partir à Amsterdam pendant six mois pour un stage en tant que... *va relire ses mails* Administrative associate for sales (inbound) tourism. Kékecê ?
Pour faire simple, après l'obtention de mon diplôme j'ai été retenue par un organisme aquitain appelé l'Adast pour partir en stage où je voulais en Europe. Je visais la Suède mais vu que je ne parle pas suédois, je ramais assez incroyablement dans mes recherches. L'Adast m'a donc mise en contact avec cette entreprise de tours opérateurs aux Pays-Bas qui avait déjà accueillie une étudiante du même BTS que moi (Assistante de manager) ; donc ça me rassure au moins sur le point que, cette fois, je ne vais pas être totalement livrée à moi-même avec des salariés qui se demanderont ce que je fous là et à quoi je peux bien servir. Ou pire, avec une tutrice qui m'envoie acheter le gâteau d'anniversaire d'un employé (qui ne savait même pas que j'existais), ce qui était entre nous l'activité la plus passionnante que j'avais faite pendant mes deux premières semaines de stage en Irlande. Mais passons, l'essentiel c'est que je me suis réveillée ensuite, et que ça ne m'a pas empêché d'apprécier cette même tutrice et tout le reste de mon stage.
Pour en revenir à mon futur stage : j'ai donc eu un entretien au téléphone avec la DRH de Amsterdam City Tours (le nom de la boite) et ça a été comme sur des roulettes (ça l'aurait été moins si elle s'était mise à me parler en néerlandais). Autant pour mon stage en Irlande, j'y étais allée comme une touriste, sans avoir rien préparé, ce qui fait que j'ai bafouillé au téléphone en improvisant totalement (miraculeusement j'ai été prise), autant là, j'avais minutieusement préparé les questions-types d'un entretien, mémorisé mes notes (on devait s'entretenir sur Skype au départ, mais à la dernière minute on a dû se rabattre sur le téléphone), je m'étais apprêtée et maquillée (pour rien, donc), et finalement la seule question que j'ai eue c'est "Tell me a little about you", haha. Faut dire que les CV Europass sont tellement archi détaillés que le mien répondait pour moi... Après, la DRH, très sympa, m'a parlé de leur activité, de ce que j'allais faire, de mon temps de travail (40 heures hebdo avec un weekend "off" par mois, ouh ! Fini les petits stages de formation là, ça rigole plus), etc. Et moi j'étais trop contente parce que c'était dans la poche.
Ce qui est chouette c'est que ça va me faire une expérience d'enfer dans un secteur qui m'attire (le tourisme) et dans un pays qui m'enthousiasme finalement beaucoup plus que ce que je pensais. J'vais aussi pouvoir parler espagnol, d'après la DRH, et ça c'est pas de refus, parce qu'à force de ne pratiquer qu'en anglais, j'ai peur de perdre un peu en espagnol. Par contre, je me demande si l'Adast ne va pas me forcer un peu la main pour que je suive des cours de néerlandais et d'imersion culturelle... Si je peux m'en sortir avec l'anglais, ça m'ira très bien, j'avoue que les langues germaniques ne m'attirent pas du tout. Après, dans l'éventualité où je suis embauchée après le stage, je risque de le regretter. Enfin, on verra quand l'Adast rouvrira. Ils pouvaient pas choisir plus mauvais moment pour fermer, pile quand j'ai besoin d'aide pour trouver un logement là-bas. Vu que je dois commencer à la mi-septembre, c'est assez urgent.
Et puis, bonus : les copains parigos et nordistes n'auront plus aucune excuse pour ne pas venir me voir, gneck gneck. Ce serait top de se faire une IRL amstellodamoise (à mes souhaits). Même si, a priori, je ne vais pas disposer de beaucoup de temps libre. Je crains d'ailleurs que mes créneaux pour écrire ne se réduisent drastiquement aussi. Ce qui explique sans doute pourquoi je passe mon temps à lire et écrire en ce moment, avant d'attaquer ce grand break.
J'essayerai malgré tout de tenir ce journal à jour, autant que faire se peut, pour faire part des anecdotes croustillantes d'une aventurière en territoire inconnu.
Sur ce, je retourne devant Tellement vrai, je ne jure que par ça en ce moment.
Pour faire simple, après l'obtention de mon diplôme j'ai été retenue par un organisme aquitain appelé l'Adast pour partir en stage où je voulais en Europe. Je visais la Suède mais vu que je ne parle pas suédois, je ramais assez incroyablement dans mes recherches. L'Adast m'a donc mise en contact avec cette entreprise de tours opérateurs aux Pays-Bas qui avait déjà accueillie une étudiante du même BTS que moi (Assistante de manager) ; donc ça me rassure au moins sur le point que, cette fois, je ne vais pas être totalement livrée à moi-même avec des salariés qui se demanderont ce que je fous là et à quoi je peux bien servir. Ou pire, avec une tutrice qui m'envoie acheter le gâteau d'anniversaire d'un employé (qui ne savait même pas que j'existais), ce qui était entre nous l'activité la plus passionnante que j'avais faite pendant mes deux premières semaines de stage en Irlande. Mais passons, l'essentiel c'est que je me suis réveillée ensuite, et que ça ne m'a pas empêché d'apprécier cette même tutrice et tout le reste de mon stage.
Pour en revenir à mon futur stage : j'ai donc eu un entretien au téléphone avec la DRH de Amsterdam City Tours (le nom de la boite) et ça a été comme sur des roulettes (ça l'aurait été moins si elle s'était mise à me parler en néerlandais). Autant pour mon stage en Irlande, j'y étais allée comme une touriste, sans avoir rien préparé, ce qui fait que j'ai bafouillé au téléphone en improvisant totalement (miraculeusement j'ai été prise), autant là, j'avais minutieusement préparé les questions-types d'un entretien, mémorisé mes notes (on devait s'entretenir sur Skype au départ, mais à la dernière minute on a dû se rabattre sur le téléphone), je m'étais apprêtée et maquillée (pour rien, donc), et finalement la seule question que j'ai eue c'est "Tell me a little about you", haha. Faut dire que les CV Europass sont tellement archi détaillés que le mien répondait pour moi... Après, la DRH, très sympa, m'a parlé de leur activité, de ce que j'allais faire, de mon temps de travail (40 heures hebdo avec un weekend "off" par mois, ouh ! Fini les petits stages de formation là, ça rigole plus), etc. Et moi j'étais trop contente parce que c'était dans la poche.
Ce qui est chouette c'est que ça va me faire une expérience d'enfer dans un secteur qui m'attire (le tourisme) et dans un pays qui m'enthousiasme finalement beaucoup plus que ce que je pensais. J'vais aussi pouvoir parler espagnol, d'après la DRH, et ça c'est pas de refus, parce qu'à force de ne pratiquer qu'en anglais, j'ai peur de perdre un peu en espagnol. Par contre, je me demande si l'Adast ne va pas me forcer un peu la main pour que je suive des cours de néerlandais et d'imersion culturelle... Si je peux m'en sortir avec l'anglais, ça m'ira très bien, j'avoue que les langues germaniques ne m'attirent pas du tout. Après, dans l'éventualité où je suis embauchée après le stage, je risque de le regretter. Enfin, on verra quand l'Adast rouvrira. Ils pouvaient pas choisir plus mauvais moment pour fermer, pile quand j'ai besoin d'aide pour trouver un logement là-bas. Vu que je dois commencer à la mi-septembre, c'est assez urgent.
Et puis, bonus : les copains parigos et nordistes n'auront plus aucune excuse pour ne pas venir me voir, gneck gneck. Ce serait top de se faire une IRL amstellodamoise (à mes souhaits). Même si, a priori, je ne vais pas disposer de beaucoup de temps libre. Je crains d'ailleurs que mes créneaux pour écrire ne se réduisent drastiquement aussi. Ce qui explique sans doute pourquoi je passe mon temps à lire et écrire en ce moment, avant d'attaquer ce grand break.
J'essayerai malgré tout de tenir ce journal à jour, autant que faire se peut, pour faire part des anecdotes croustillantes d'une aventurière en territoire inconnu.
Sur ce, je retourne devant Tellement vrai, je ne jure que par ça en ce moment.