Unexpected meeting (04/05)

Nov 11, 2014 14:27

Titre : Unexpected meeting
Auteur : biditoche
Pairing : Arashi w/ OC ; Junba (Matsumoto JunxAiba Masaki)
Rating : G
Genre : Au, amitié, romance
Résumé : Coincé dans le métro en pleine nuit, la veille de Noël, il fait la connaissance de quatre hommes pour qui il va changer le destin - et eux le sien. Ex, amants, nouvel amour,...peut-on parler de miracle de Noël ?





J'ouvre les yeux en entendant mon nom. Aiba et Matsumoto se tiennent devant moi, main dans la main. J'ai un sourire un peu triste mais les regards qu'ils se lancent me rendent heureux pour eux. Heureux et jaloux.

« Merci. »

Me dit simplement Matsumoto, mais je sens beaucoup de reconnaissance dans le ton de sa voix. Est-ce vraiment nécessaire ? Est-ce que je le mérite vraiment ?

« Ce n'est pas moi qu'il faut remercier, mais vous. »

« Merci tout de même. Sans vous...sans vos conseils...J'vous remercie vraiment Boss ! »

« Nous fêtons l'anniversaire de Masaki ce soir » un sourire se dessine sur les lèvres du châtain. Ah, alors il y avait pensé... « venez, si vous le pouvez. »

Il me donne sa carte de visite avec au dos, ce qui doit être l'adresse de leur appartement. Je les remercie silencieusement et range la carte dans ma poche intérieure. Matsumoto s'éloigne, me laissant seul avec son compagnon après un regard soutenu de celui-ci.

« Les choses se sont réglées. Vous aviez raison, discuter...c'était une bonne alternative. On a évité le pire ! »

« La séparation. »

« Mmmh. Je me suis imaginé bien des choses...mais on a mit tous les problèmes à plat et on va les résoudre un par un ! »

« Et...il vous a répondu ? »

Ma question est aussi anodine que dangereuse. Qui sait, peut-être qu'il n'a rien dit et que je ne fais que mettre du l'huile sur le feu à peine éteint ? Mais l'air gêné d'Aiba me laisse entendre le contraire. Quelle chance ils ont...si c'était si simple ! Pourquoi ça a l'air pour les autres ? Et si c'était juste moi qui ne faisais pas assez d'efforts pour que ça marche ?

« Et je vais faire de mon mieux au travail, je vous le promets ! »

« J'espère bien ! Nous voulons le meilleur de nos employés. »

« Merci beaucoup, vous êtes une personne en or. Je suis content de vous avoir rencontré ! Grâce à vous, je peux être heureux à nouveau et...Sakurai-san ? Pourquoi cette mine triste ? »

Moi ? Une personne en or ? Je pense plutôt que c'est le contraire...mais comment dire ça sans passer pour l'homme qui s’apitoie sur son sort ?

« Ce n'est rien. »

« C'est vrai que vous nous aidez depuis tout à l'heure mais peut-être que vous aussi, vous avez des problèmes ? Si vous voulez en parler... »

« Non. De toute façon c'est terminé, il n'y a plus rien à faire. »

« Je n'y crois pas. Je suis sûr que non, au contraire. Si j'ai pu réparer alors v... »

« N'insistez pas. C'est terminé. »

« Comme vous le voulez, mais vous ne faites pas honneur à vos propos. Peut-être avons-nous eu tort de vous écouter ! »

Il se lève et me laisse seul pour aller rejoindre les autres. Apparemment, la tension entre Matsumoto et Ninomiya s'est un peu apaisée. Allez savoir ce qu'ils se sont dit et quel était le sens de cette gifle ! En tout cas, l'orage est passé pour eux.

Et soudainement, un soubresaut.

Les lumières de la rame clignotent une bonne dizaine de fois avant de se stabiliser et le bruit du mécanisme nous parvient. Puis, la rame se met doucement à avancer et aux haut-parleurs, une voix nous crachote que le problème est réparé et que nous repartons. Ah, enfin ! Je cale ma tête contre le siège et ferme de nouveau les yeux. Un sourire étire alors mes lèvres quand, dans mon esprit, j'entrevois des bouts de ce bonheur que nous avons partagé pendant tous ces mois. Allongé dans notre lit, il dort paisiblement, sa tignasse châtain éparpillée autour de son visage si jeune, sa joue enfoncée dans l'oreiller. Le drap ne lui arrive qu'en bas des reins. Je me souviens de cet instant comme si c'était hier, j'ai gravé cette image dans ma mémoire. Il était si beau, il semblait heureux...je me suis approché de lui, suis monté sur le lit pour le surplomber et doucement, ai baisé ses épaules pour le tirer de son sommeil. J'avais besoin de le sentir contre moi après cette soirée éprouvante de travail, ces rendez-vous sur rendez-vous interminables...il est mon énergie, ma raison de me lever le matin, celui qui me pousse à partir le plus vite possible du travail. J'ai caressé ses cheveux, les enroulant autour de mon index et il a finit par geindre avant de se tourner vers moi avec un air endormi.

'Sho ?'

'Hey.'

'Tu rentres tard.'

'Désolé, j'ai fait aussi vite que j'ai pu. Mais demain, je suis tout à toi.'

'Toute la journée ?'

'Et plus si affinités...'

Je me souviens qu'il avait souri de façon comblée avant de me tirer vers lui pour un doux baiser dont je me souviendrai encore dans vingt ans. Je sens encore le contact de ses lèvres charnues contre les miennes et de son air encore un peu endormi alors que je me glissais sous les draps pour le rejoindre. Je lui ai fait l'amour cette nuit-là avec toute la douceur dont je suis capable, autant pour m'excuser que pour qu'il comprenne à quel point je l'aime. Oui, je l'aime. À la folie, à un point tel que ça me fait mal. Cette douleur...je ne l'avais pas ressentie depuis des années. Depuis douze ans. Et voir ce visage que j'ai autrefois peint de plaisir, entendre cette voix qui a gémit pour moi me dire que je le dégoûte, qu'il ne veut plus de moi...comment...comment est-ce que ça peut faire aussi mal ?

« Je suis désolé... »

« Sakurai-san ? Nous sommes ar...Eh ? Ça ne va pas ?? »

Je sursaute en entendant la voix de Matsumoto me tirer de mes pensées et me redresse pour lui faire ça. Mais je sens comme une chose étrange sur mon visage, une drôle de sensation dans mes yeux et un état que je n'avais pas connu depuis des années.

« Ça ne va pas ? »

Je le regarde avec un air béat de stupéfaction. Je passe mes doigts sous mes yeux, sur mes joues et les regarde, complètement mouillés alors que je sens de nouvelles gouttes couler. Et ça sort de mes yeux. De MES yeux ! Je regarde autour de moi, comme perdu et n'arrivant pas à croire ce qui m'arrive.

« Je...Je...Je pleure... »

« Oui je vois ça, mais quelque chose ne va pas ? Vous avez besoin d'aide ? Nous allons arriver à la prochaine station. »

« Je pleure !!! »

Je me redresse sur mes jambes et sans réfléchir, prends Matsumoto dans mes bras pour le serrer de toutes mes forces, un grand sourire aux lèvres qui jure étrangement avec les larmes qui continuent de couler sur mes joues jusqu'à son beau manteau.

« Sakurai-san ! Reprenez-vous ! »

Je m'écarte de lui et m'excuse platement. J'ai toujours mal, je ne me sens pas bien et je n'arrive plus à m'arrêter de pleurer mais que ça arrive, maintenant...le sens en est fort, j'en ai bien conscience. Ça veut dire tellement de choses...ça veut dire que tout n'est pas perdu. Si je peux pleurer, alors je peux changer tout ce que je veux, je peux faire n'importe quel effort sans hésitation.

« Vous êtes sûr que vous allez bien ? »

Me redemande le mannequin alors que nous descendons à la station prochaine. Il s'est mit à neiger et les flocons se mettent peu à peu à recouvrir les rues. J'hoche de la tête avec un air assuré.

« Ne vous en faites pas, ça va bien se passer maintenant. Je sais ce que je dois faire ! »

« A la bonne heure ! » fait Aiba joyeusement, se serrant un peu plus contre son petit-ami qui ne pipe mot. « On vous voit ce soir ? »

« J'y compte bien. On peut se tutoyer peut-être ? »

« Pourquoi pas ! Bon retour chez toi dans ce cas et sèche ces larmes Boss, on dirait un gros bébé ! »

Mais je n'ai pas envie de les sécher, hors de question ! Elles ont mis temps de temps à sortir...Ohno attire soudainement notre attention et nous tend une feuille en papier, que nous regardons tous avec étonnement. Nous y sommes représentés tous les cinq, assis autour de quelques pauvres bougies avec des visages heureux. Une belle représentation (et un peu fausse) de cette rencontre !

« Viens aussi Ohno-san ce soir ! On en profitera pour l'encadrer et l'afficher sur le mur ! »

Je vois Matsumoto lever les yeux au ciel mais il ne dit rien, ce qui doit lui coûter beaucoup ! Surtout s'il est un peu comme moi...mais en même temps, Aiba est si drôle, si apaisant, si rafraîchissant. Comment pourrait-on lui en vouloir ?

« Je vais peut-être venir aussi alors, dans ce cas...sauf si tu es contre, J ? »

« Mnon. Fais comme tu veux ! »

Accord tacite entre eux et je soupçonne Ninomiya d'avoir un peu d'intérêt pour le dessinateur...mais c'est une toute autre histoire.

C'est sur une bonne note que nous décidons de nous séparer. J'ai l'impression de quitter des amis de toujours alors que pourtant, nous nous connaissons à peine. Pourtant, j'en sais plus sur Aiba que sur mon propre cousin ! Mais j'ai la sensation qu'ils auront une place importante dans ma vie...je le sens.

Je ne pense plus à eux lorsque je remonte dans une rame de métro, à peine une minute plus tard avec une idée fixe en tête. Je sais ce que je dois faire, je n'ai même jamais été aussi confiant sur ce que je veux et ce que je ressens ! C'est si clair, si limpide, si évident...comment ai-je pu aller en sens inverse ? Je ne sais pas. Mais il est hors de question que je laisse les choses en l'état.

Je n’ai jamais eu le visage aussi mouillé en si peu de temps et ce n’est pas à cause des flocons qui tombent. Je n’ai pas forcément besoin de courir mais je le fais quand même. Le trajet inverse est plus rapide et je commence vraiment à me dire que ce problème de métro était lié au destin…mais ce n’est pas le moment de penser à ça ! Je dévale les rues, glisse sur les plaques de verglas des trottoirs, manque de tomber plusieurs fois mais ça n’arrête pas ma course. Le bout de mon nez est gelé, mes joues probablement aussi rouges que lui et j’ai oublié de remettre mes gants. Sauf que je ne ressens même pas tout ça tellement je n’ai qu’une seule chose en tête.

Je monte quatre à quatre les escaliers de l’immeuble alors que mes yeux continuent de verser des torrents d’eau - ou ce qui y ressemble pour une personne qui n’a pas pleuré depuis 12 ans. Arrivé devant la porte, je fouille mes poches avant de me souvenir que je n’ai pas pris le temps de prendre mes clés quand je suis parti, quelques heures plus tôt. Alors je frappe comme un fou à la porte, réveillant probablement le voisinage paisiblement endormi. Mais je m’en fous, tout ça n’est pas important…je veux juste que cette porte s’ouvre et enfin, j’entends un cliquetis de clés et un verrou que l’on tourne. La porte s’entrouvre légèrement puis entièrement pour laisser place à un jeune homme mince, de taille moyenne, aux cheveux châtains un peu ébouriffés et aux yeux plus bouffis que moi. Il a pleuré, je le sais…et il semble surpris de me voir là.

« Sho…qu’est-ce que tu fais là ?! Est-ce que…mais…tu…tu pleures ? »

Surprenant, non ? Et je ne sais plus quoi dire en cet instant alors que je n’arrive pas à m’arrêter de pleurer, en effet. C’est plus fort que moi, comme si je laissais aller des dizaines d’années à retenir ces larmes. Je frotte mes joues pour les sécher mais ça ne sert à rien et nous restons comme deux idiots sur le pas de la porte. Et malgré tout ce qui s’est passé entre nous, c’est un air inquiet qu’il affiche en me regardant. Quel idiot…il est beaucoup trop gentil avec moi ! Pourquoi s’inquiéter ainsi alors que je lui ai fait tant de peine ? Je ne le mérite pas…

« Taka…Je suis tellement désolé… » j’arrive enfin à dire entre deux sanglots.

Je ressemble à un petit garçon qui vient de se faire méchamment punir mais ça aussi, je m’en fous. Peu importe que j’ai l’air hideux, tant que j’arrive à lui dire ce que je pense vraiment, ce qui me ronge le cœur depuis qu’on s’est pris la tête.

« Je ne veux pas rompre avec toi. Je sais que tu as dit qu’il le fallait mais je ne peux pas. Je ne veux pas ! Je t’aime et…je sais que je suis un con, que j’agis avec toi comme si…comme si je n’avais pas confiance en toi, que je te sous-estime mais tu te trompes ! Je t’admire, je te respecte, je t’aime plus que tout…tu dois me croire ! Je suis juste trop idiot pour te le dire et trop…nul pour te le montrer comme il faut. Je sais que j’ai tendance à tout décider tout le temps pour nous deux, que je suis trop souvent jaloux, que je ne te défends pas tout le temps devant ma famille mais…je crève d’amour pour toi Taka !!! Je ne veux pas me séparer de toi, je t’en prie…reprends-moi. »

Je n’ai jamais supplié personne. Jamais, pas même ma mère ! Mais là c’est différent, c’est lui. Je ferai tout pour lui. Il reste silencieux en me regardant, immobile. Est-ce qu’il va dire quelque chose ou pas… ?

« Je…Je n’arrête pas de repenser à toutes les choses qu’on s’est dites et j’ai bien réfléchi. Je vais faire plus d’efforts, je vais m’améliorer parce que je préfère me débarrasser de certaines manies plutôt que de te perdre. Désormais je ne déciderai pas pour nous deux tout seul ! Je te soutiendrai à chaque fois ! J’arrêterai de regarder de travers chaque personne à qui tu parles un peu trop intimement ! Et jamais, plus jamais je ne te ferai pleurer… »

« Alors…tu n’as pas honte de moi ? Je ne suis pas un poids ? »

« Bien sûr que non ! Jamais ! Tu es même la plus belle chose que j’ai. »

« Je ne suis pas… »

« Un objet, je sais. Je ne te considère pas comme tel. Je ne suis heureux qu’avec toi et je serai fier de dire que je suis ton petit-ami, que c’est à moi que tu accordes ton temps et tes sourires. Je n’aurai jamais honte de me promener avec toi dans la rue et si je le pouvais, j’écrirai sur tous les murs de Tokyo que je suis le plus chanceux des hommes parce que mon petit-ami est Nishijima Takahiro et qu’il n’y en a pas de meilleurs que lui. »

« Sho… »

« Alors pardonne-moi. Pardonne ma bêtise, mon égoïsme et mon snobisme. Pardonne ma maladresse et ma froideur parce qu’au fond…tu n’as besoin de savoir qu’une seule chose à mon sujet…c’est que je suis fou amoureux de toi et que ça ne changera jamais. »

Je ne suis plus tout seul à pleurer à présent et je déglutis, avant de m’incliner bien bas devant lui.

« Baka… » murmure-t-il alors « relève-toi donc… »

Ce que je fais aussitôt, me donnant un peu le tournis. Il me regarde avec les mêmes yeux doux qu’avant et penche la tête sur le côté.

« Tu n’avais pas besoin de me dire tout ça, Sho. »

« Eh ? »

« Le simple fait de pouvoir pleurer pour moi me suffit. »

« Tu… »

« Parce que je sais que tu ne pleures jamais et que c’est là une preuve d’amour que tu me fais, bien plus forte que des mots. Moi aussi je t’aime, espèce de nigaud… »

« Est-ce que tu es d’accord ? »

« Depuis que tu as franchi cette porte, je n’ai fait qu’attendre ton retour. Que l’espérer. Alors évidemment que c’est d’accord ! Qui dirait non à une bouille d’hamster mouillé pareille… »

Je ne m’arrête pas sur la petite vanne et m’empresse de prendre son visage entre mes mains pour l’embrasser jusqu’à en perdre mon souffle - et le sien avec. Ses mains s’agrippent à ma veste et nous échangeons un baiser aussi mouillé que passionné. Je descends mes mains vers sa taille alors que les siennes glissent jusqu’à mes cheveux, qu’elles empoignent avec fermeté. Et là, je le serre contre moi, aussi fort que je le peux. J’ai failli le perdre, cet être si exceptionnel à mes yeux…et il aura fallu être bloqué dans ce métro avec ces étrangers pour m’en rendre compte ! Alors silencieusement, je les remercie tous. Aiba, Matsumoto, Ninomiya et Ohno. Eux quatre qui m’ont aidé à prendre un virage dangereux dans ma vie. Je leur suis redevable…

On entend alors des coups sourds résonner dans la cage d’escalier puis dans l’appartement et enfin, la voix stridente du voisin du dessous :

« Ce n’est pas fini ce boucan ??!! Y’en a qui voudraient bien dormir !! »

Nous pouffons tous les deux mais ne répliquons pas. Taka ouvre un peu plus la porte et me laisse entrer, avant de me tendre quelque chose.

« Tiens, tes clés. Ne les oublie pas la prochaine fois, espèce d’idiot… »

Je souris, referme la porte derrière moi et retourne l’embrasser tout mon saoul. Ça m’a tellement manqué ! Et c’est ce qu’il me murmure peu après dans notre baiser. Qu’est-ce que je l’aime ce mec…c’est dingue. Et alors que nous nous dirigeons vers la chambre tout en nous déshabillant l’un l’autre - parce qu’évidemment, nous sommes obligés de passer par cette étape pour remettre les choses dans l’ordre et ce n’est pas sans plaisir - il se met à rire alors que j’ai failli me ramasser par terre. Ce rire…ce sourire…les petites rides aux coins de ses yeux noisette…Je le regarde faire un long moment, comme bloqué, perdu dans la contemplation de ce beau tableau. Mon homme à moitié nu qui rit pour moi (ou à cause de moi mais peu importe).

« Sho ? »

Je souris à mon tour et fonds sur lui pour le faire tomber en arrière sur le lit et lui montrer à quel point je l’aime…

Et cette fin heureuse, grâce à une rencontre inattendue.

Note : Hey, ça fait un moment que je n'ai pas posté :) Je n'avais pas vraiment le temps et le moral pour ça mais maintenant, je suis totalement à vous ! Voilà donc la suite et avant dernière partie de cette petite histoire. J'espère que ça vous plaira et n'hésitez pas à dire pourquoi oui, ou pourquoi non ;) Mais surtout, si le guest vous plaît ou pas 8D J'avoue qu'on n'y pense peut-être pas tout de suite et dans un sens, j'espère bien que vous ne l'ayez pas deviné depuis le début xDDD Bien qu'étrange et inhabituel, j'aime ce petit couple...et vous aussi, je prie ♥
J'en profite également pour vous dire que "My Naughty Librarian est terminée" :D Je vais donc la poster bientôt, au compte goutte comme d'habitude ;) Désolée pour l'attente ♥
A bientôt et merci :D

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