Titre : Danse pour moi ♥
Auteur :
biditochePairing : Matsumiya (Matsumoto Jun x Ninomiya Kazunari)
Rating : NC-17
Genre : Au, romance
Résumé : 7th Heaven. Lieu de débauche et de perdition où survit Nino depuis sept longues années. Mais il se pourrait bien que les choses changent...
Je n’en reviens pas de mes propres mots, le tutoyer et lui parler si crûment. Mais j’ai l’impression que si je ne le fais pas, il ne me donnera pas ce que je veux et j’en ai besoin. Je veux le sentir en moi maintenant. Il me soulève un peu et je m’accroche au dossier de la chaise puis, tout doucement, il commence à s’enfoncer en moi. C’est si douloureux que si je n’étais pas excité comme ça, je stopperai tout. Mais ça ne m’empêche pas de crier ma souffrance et il se retire pour me prendre à nouveau, cette fois jusqu’au bout. Voilà, nous sommes emboités, unis…et même si c’est bizarre, c’est aussi délicieusement bon, la manière dont je me sens comblé à cet instant. Il continue de m’embrasser et reprend des petits mouvements sur mon sexe, faisant un peu passer la douleur, jusqu’à ce qu’elle disparaisse. Alors je m’accroche fermement au siège et commence à bouger doucement.
« Danse pour moi Nino… »
Ce que je fais autant que me le permet la position et le plaisir. Mon rythme assez lent prend un peu plus de vitesse et bientôt je monte et descends sur lui, nous faisant gémir comme jamais. Je ne savais pas que c’était si bon de se faire prendre, ou alors c’est lui…Mais bon pas le temps de penser, il m’agrippe les hanches pour m’aider à les soulever, nous rendant ainsi tous les deux aussi fatigués l’un que l’autre et accablés par le plaisir de l’acte. Je vais encore un peu plus vite, gémissant et criant contre sa peau ou ses lèvres tellement c’est bon. Une goutte de sueur perle entre mes omoplates et je ferme les yeux, la bouche ouverte dans un cri silencieux lorsque je le sens taper soudainement en moi et recommencer juste après, m’envoyant des décharges dans tout le corps. Nous continuons comme nous pouvons comme ça pendant quelques minutes, prenant de la vitesse et de la profondeur.
Et soudainement ses mains se posent dans mon dos et il me soulève sans me prévenir, me couchant sur le bureau en bois dont le froid m’arrache des frissons agréables. Jun bloque mes poignets avec ses mains et se penche vers moi pour m’embrasser, alors qu’il commence des coups de hanches de plus en plus rapides et violents, me faisant hurler lorsqu’il touche pour la première fois ma prostate. J’ai l’impression de mourir et me cambre en écartant encore plus les jambes pour l’accueillir plus en profondeur. Il prend alors ma jambe droite pour la soulever un peu et gémit en me donnant un coup de rein si puissant que j’en vois des étoiles derrière mes paupières. Il est brutal, mais en même temps si doux et parfait dans ses mouvements…
« Ça va mon Nino ? » fait-il en me donnant subitement un coup de butoir.
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
« Encore ? »
« E-Encore Jun…encooooooooore…plus…viiiiiiite. »
Il va donc plus vite et mes cris remplacent les gémissements. J’en peux plus, c’est trop intense. Une douleur me déchire les entrailles pendant qu’il prend mon sexe dans sa main pour lui imprimer des mouvements aussi rapides, la resserrant un peu plus à chaque fois. Je l’entends alors pousser un râle profond, il se déverse en moi et sa chaleur me suffit à partir aussi. Je jouie sur mon ventre, le souffle court et un cri déchirant la pièce. J’ai atteint le nirvana avec mon directeur, et lui avec moi.
Après ça il s’affale sur moi et prend un mouchoir dans son tiroir pour m’essuyer avec.
« J’avais raison. »
« Q-Quoi ? »
« Faire l’amour avec toi c’est le pied. »
Je rigole un peu et reprends un peu de souffle. Je n’ai jamais été aussi fatigué, même après un de ses entraînements !
« Alors ? »
« Alors quoi ? »
« Ça t’a plu ? De coucher avec ton directeur. »
« C’était ma première fois dans le genre. »
« Ah oui, tu es hétéro. »
« Plus maintenant. »
Il sourit un peu et vient m’embrasser doucement puis plus profondément.
« C’est toujours bien de coucher avec son directeur. »
« Ça dépend duquel. »
« Et avec moi c’était bien ? »
Je rougis un peu, pas encore prêt à l’avouer tout haut devant lui. Mais ça doit se voir sur mon visage, que j’ai adoré ça.
« Pour ma part j’ai trouvé ça si bien que… »
Je le sens m’agripper les hanches à nouveau et me retourner ventre contre le bureau. Le contact du froid me réveille un peu, mais beaucoup plus le membre à nouveau tendu de mon patron que je sens derrière moi, jouant avec mon entrée.
« Encore ?? »
« Tu dirais non ? »
Ses petits mouvements m’excitent tellement que je gémis, signifiant que je dis plus oui que non. Je suis à nouveau dur à mon tour et essaye de me retourner. Il ne me le permet cependant pas et me plaque grâce à une main sur le bois.
« J’y vais ? »
« O-Oui, vas-y. »
Il m’écarte un peu les fesses et pénètre en moi d’un ample mouvement de hanches, me faisant crier à nouveau. Sans attendre, il commence à bouger en moi de plus en plus violemment, provoquant nos gémissements. La fatigue a fait place au nouveau plaisir et bien que la position soit gênante, j’y prends énormément de plaisir et ça s’entend. Il bute en moi de plus en plus vite, touchant mon point sensible à plusieurs reprises. Je n’arrive encore plus à respirer.
« Qu’est-ce que…t’en penses ? »
« C’est troooop boooooooooooon. »
« C’est toi qui es trop b-bon Nino ! Tu aimes ? »
« Oh oui ! ouiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Juuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuun »
Il vient de toucher plusieurs fois ma prostate de façon répétée et violente, si bien que j’en jouie à nouveau. Il me suit peu de temps après, aussi épuisé que moi. Cette fois on ne parle pas, sa tête posée dans le creux de mon épaule. Je le sens respirer dans mon oreille et j’en souris béatement. Une chose de sûre à présent, ce gars me fera tourner la tête très longtemps.
Quelques 30 minutes plus tard, je suis de nouveau assis sur ses genoux dans le siège mais avec au moins un pantalon, tout comme lui. Il me caresse le dos et baise la partie de ma peau qui lui est accessible, à savoir mes épaules et ma nuque vu que ma tête repose sur sa clavicule. Je suis bien là, pour la première fois de ma vie je suis bien contre quelqu’un.
« Tu m’aimes Jun ? » »
« Oui je t’aime. »
« Depuis quand ? »
« La première fois, mais je ne l’ai su que beaucoup plus tard. Et toi ? »
Je sens une pointe d’inquiétude dans sa voix. Je n’ai pas eu le temps de réfléchir à ça. Est-ce de l’amour que je ressens ou pas ? J’aime être avec lui, je me rends compte aussi que j’aimais au fond de moi aller le retrouver à nos entraînements. J’aime sa démarche, son style, son physique et sa personnalité qui fait écho à la mienne. J’aime savoir qu’il m’aime, ça me rend infiniment heureux.
« Oui je t’aime aussi. »
Il me serre contre lui, sûrement avec soulagement et nous restons là encore longtemps. Je ne sais pas quelle heure il est quand, enfin, nous sortons du bureau. Le Club est vide et obscure. Il n’y a plus personne et heureusement. Pour l’instant nous avons décidé de nous faire discret pour ne pas trop choquer et attirer les mauvaises langues. Il me raccompagne jusque chez moi (par sécurité dit-il) et une fois devant ma porte il me plaque contre le mur pour m’embrasser langoureusement, posant un de ses mains sur mon entrejambe.
« Ce corps est à moi Nino, j’ordonne que personne à part moi ne le touche ni ne le voit, compris ? »
« Oui Monsieur le directeur. »
« Demain tu viens dormir chez moi. »
« Eh ? Mais… »
« Pas de mais. Donne ton portable. »
Je boude un peu et le lui donne finalement. Je résiste quand même mais plus pour la forme qu’autre chose. Il rentre quelque chose à l’intérieur et refait la même chose avec le sien.
« Voilà, je t’appelle demain. Et si tu ne réponds pas… »
« Quoi ? »
« Tu le regretteras. »
Je pouffe et m’enfuis dans mon appartement, entendant un grognement derrière ma porte. Je me couche très heureux et le sourire aux lèvres ce soir-là.
***
J’arrive en chantonnant dans les vestiaires le lendemain et mes collègues se jettent sur moi.
« T’as l’air bien heureux, alors que notre super directeur va partir. »
Ah oui, j’avais oublié ça…va-t-il toujours quitter le Club maintenant ? Ma joie s’en va tout de suite quand je me souviens de cette nouvelle et ma soirée se passe lentement. Je ne le croise pas une seule fois et ça m’inquiète. Préfère-t-il quitter son boulot pour avoir une relation avec moi ? Je lui demanderai…
En fait pas la peine. Je le sais quelques heures plus tard, lors d’une pause après que Satoru m’ait remplacé dans la salle auprès des clients. Un de mes amis coure vers moi et me tire par le bras.
« Qu’est-ce qu’il y a ??? »
« Regarde ! »
Il y a bien près de 10 strip-teaseurs devant le tableau d’affichage, excités comme des puces et ce que j’y lis m’arrache un des plus grands sourires du monde. Là, au milieu du panneau et écrit en rouge, gros et gras :
*Information au personnel*
Le directeur actuel, Matsumoto Jun, gardera ses fonctions
au sein du Club The 7th Heaven.
Cette décision est définitive et ne verra plus de changement.
S’il voyait à quel point les autres sont heureux…ça n’aurait pas été ça si le vieux était soudainement resté. Je ne commente pas et retourne travailler, le sourire aux lèvres. J’ai énormément de succès ce soir-là, mais en même temps j’ai l’impression de rayonner. Vers 1h, la fin de mon service, mon portable sonne et je décroche.
« Mochi mochi ? »
« C’est moi. »
« Qui moi ? »
« Tu veux vraiment jouer à ça ? »
« Félicitations directeur Matsumoto. »
« Pour ? »
« Rester ici. »
« Ah, tu as vu. »
« Serait-ce pour moi que vous l’avez fait ? »
« Tu me vouvoies maintenant ? »
« Comme il se doit. »
« Faut-il que je recommence la même chose qu’hier pour que tu me tutoies ? »
Je rougis en remettant mes chaussures et essaye de reprendre contenance.
« Je ne vois pas de quoi vous parlez. »
« Mais oui, je suis sûr que tu es aussi rouge qu’une écrevisse. »
« N’importe quoi. »
« Au moins aussi rouge que l’intérieur de tes baskets. D’ailleurs tu devrais les changer, elles sont moches, usées et pas du tout à la mode. »
« Qu’est-ce que ça peut vous faire que… »
Je regarde soudainement autour de moi et vois le jeune homme accoudé au mur, regardant mes chaussures avec une grimace.
« Oi ! Tu m’as maté ? »
« Ah, tu me tutoies maintenant ? »
« Oui…enfin non…enfin…euh… »
Il s’assit rapidement à côté de moi et ses lèvres sont déjà dans mon cou, son souffle chaud me caressant.
« Pas ici ! »
« Et alors ? Il n’y a personne. »
« Et si quelqu’un nous voyait ? »
Il hausse les épaules et sa bouche capture la mienne pour un long baiser qui me fait fondre tout de suite. Ouhlà, il va falloir que je fasse attention ou je pourrai tout lui céder comme ça !
« Viens avec moi. »
Je le suis assez docilement, se rebeller serait inutile et je monte en catimini dans sa voiture noire de jais et aux options multiples. Ça lui ressemble bien de se promener dans ce genre de voiture lustrée.
« Fais attention à tes pieds, on ne salit ni ne raye ma voiture. »
« Evidemment, j’aurais dû m’en douter ! »
Il démarre en trombe et s’arrête quelques minutes plus tard devant un beau bâtiment, simple et avec un air luxueux. Je le suis encore dans la rue, monte dans l’ascenseur et m’arrête à mon tour devant sa porte.
« Entre » fait-il en l’ouvrant.
Je pose un pied à l’intérieur pour découvrir un intérieur aussi classe que la personne qui y habite. Des meubles design blanc et chocolat, bleu ciel et noir. Pas une poussière, la pièce principale est illuminée par les lumières de la ville que la grande baie vitrée donnant sur le balcon laisse passer. Il y a un canapé, une télé à écran plat, un tapis, une table et des étagères au mur. La pièce d’à côté contient la machine à laver, le lave-vaisselle, l’évier, la cuisine avec un plan de travail et une petite table avec deux chaises. Je devine les toilettes à la porte fermée et la salle de bain en face. Enfin, la dernière porte que je pousse…la chambre. Elle est encore plus jolie que le reste de l’appartement. Il y a un grand lit deux places, très près du sol avec des draps bleus nuit, un bureau avec un ordinateur, une chaise de bureau noire, une grande armoire en bois blanc poli dont l’une des portes a un grand miroir. Là aussi il y a une grande porte-fenêtre avec des rideaux noirs. C’est si propre que ça m’en fait mal aux yeux.
« Déjà là espèce de pervers. »
Je sursaute et balbutie une piètre excuse. Il me sourit de son air charmeur qui me fait fondre et me pousse vers le salon.
« Assieds-toi et regarde la télé, je vais faire à manger. Tu as faim ? »
Là, mon ventre grogne pour moi et je l’entends rire. C’est la première fois et il est beau. Un joli petit rire discret. Je me pose donc dans le canapé et allume la télé après avoir cherché 5 minutes le bon bouton. Je zappe un peu et m’arrête sur la chaîne de musique et des clips. Une bonne odeur se répand alors dans l’appartement, me donnant l’eau à la bouche. Je me lève et suis cette senteur jusqu’à la cuisine, où mon directeur s’affaire aux fourneaux avec application et précision. Il manie la poêle avec dextérité, coupe à une vitesse incroyable et on ne sent pas d’odeur de brûlé.
« C’est quoi ? »
« Tu verras quand ce sera dans ton assiette » fait-il sans se retourner.
« Mou~…je m’en vais alors. »
J’attends quelques secondes avec un petit sourire et l’entends finalement soupirer puis se tourner.
« Des pâtes italiennes. »
« Ça sent bon. »
« Parce que je suis doué. »
A mon tour de soupirer devant sa suffisance…mais il faut avouer qu’il l’est. Je l’aide à mettre la table et finalement il apporte le plat dans la pièce et je m’assoie, le ventre dans les talons. Il a une manière de servir très pro et j’ai du mal à défaire la belle présentation.
« Bah allez mange. »
Je prends la fourchette et en mets un peu dans ma bouche. Le goût explose mon palais, j’ai l’impression que ça fond sur ma langue, c’est incroyable tellement c’est bon !
« UMAI ! »
Je n’ai pas pu m’en empêcher et il en sourit. Le repas est mi-silencieux, mi-bruyant. On parle de temps en temps mais avons parfois aussi du silence, un juste équilibre des choses je dirais. Nous avons rapidement fini de manger, je l’aide malgré ses protestations à tout mettre dans le lave-vaisselle et laver ce qui n’y rentre pas et il m’attire contre lui sur le canapé, ce qui m’étonne un peu. Je ne suis pas encore habitué à notre proximité, c’est vrai que ce qui est arrivé hier me semble parfois comme un rêve un peu trop réel. Il remarque facilement ma gêne.
« Ça te dérange ? »
« Euh…non mais…c’est bizarre. »
« Bon. »
Il s’écarte un peu mais je l’en empêche en m’accrochant à son bras.
« C’est bien comme ça. »
A moitié couché sur ses genoux, nous regardons la télé sans vraiment la regarder.
« C’est vrai que tu as gagné cette compétition toute catégorie ? »
Sa main arrête de caresser mes cheveux.
« Oui. »
« Pourquoi tu as disparu après ? »
« Raisons personnelles. »
« Ne suis-je pas assez proche de toi à présent pour le savoir ? »
Il semble hésiter un long moment puis soupire.
« T’es chiant. »
« Je sais. »
« …J’ai participé avec mon petit-ami à cette compétition. On était tous les deux de très bons danseurs et on s’est rencontré grâce à cette passion commune. On a décidé de participer tous les deux, pas vraiment gênés que l’un ou l’autre ne gagne. On s’était promis de tout donner. J’ai tout donné et j’ai gagné. Il est arrivé second sur certaines catégories et j’ai crû que ça ne compterait pas. Ça ne devait pas compter. Mais pour lui c’était une sorte de trahison et il m’a quitté juste après la compétition. J’ai eu le cœur brisé, je suis parti avec ce maudit trophée qui finalement ne me sert à rien. Je suis allé travailler à droite à gauche, vu que j’ai un diplôme en économie et finalement j’ai atterri dans une boîte de strip-tease. Là, j’ai vu une danse que je ne connaissais pas, alors j’ai demandé à y travailler et à apprendre. Ça m’a pris 1 an pour être le meilleur des meilleurs dans ce domaine. Certains diront que ça ne sert à rien, moi j’y ai trouvé là une consolation. J’ai perdu une chose qui m’était chère, j’en ai trouvé une autre après. Et je m’en félicite…si je n’avais pas fait ça, je n’aurai pas cherché un club pourri pour le redresser comme je le voulais, je n’aurai pas posé les yeux sur toi ce soir-là… »
« Est-ce que…tu me vois comme un pansement ? »
« Non ! Je l’ai oublié lui, s’il a agit comme ça alors qu’il avait promis que ça ne compterait pas, c’est que je n’avais pas d’importance pour lui. »
« Et qui dit que je n’agirai pas ainsi moi aussi ? »
« J’en prends le risque. »
« Tu me fais confiance ? »
« Oui. »
« Pourquoi ? »
« Je fais toujours confiance aux personnes que j’aime. C’est pourquoi peu de personnes l’ont. »
Je souris, content soudainement d’en faire partie et surtout de savoir quelque chose de lui que personne d’autre ne sait. Comme un secret.
***
Après ça notre relation a évoluée d’un seul coup. A partir du moment où on s’est fait confiance et malgré nos nombreux désaccords, nous avons su nous rapprocher encore plus, parlant de tout et de rien. Personne dans le Club n’a vu notre relation d’un mauvais œil, ce que je pensais. Beaucoup ont été étonnés mais j’ai évité les questions douteuses et déplacées. Finalement j’ai quitté mon appartement un peu minable avec mon pauvre salaire de strip-teaseur pour m’installer chez mon…ohmondieu…petit-ami. Ça pose problème sachant que je n’ai aucun sens de la propreté mais c’est ça qui rend la cohabitation intéressante !
Et…presque tous les soirs, je danse pour mon directeur.
Note : Et voilà, c'est terminé ! Cette fic a été écrite à la base pour l'anniversaire d'une amie, il y a de ça deux ans maintenant, le 25 mai. J'aurai voulu poster cette dernière partie à cette date mais je n'ai pas pu, malheureusement ! Tant pis ! Merci d'avoir lu et commenté :) Ja ne~