[FR] Crêpes, Gankutsuou, Franz/Albert
Titre: Crêpes
Fandom: Gankutsuou
Personnages: Franz/Albert
Mots: ~215
Rating: PG
Disclaimer: Gankutsuou est au studio Gonzo.
Il arrivait parfois à Albert de rêver de Franz. Ce n’étaient pas des rêves tristes, ou mélancoliques, juste des fragments de souvenirs communs, de ceux qui n’ont aucune valeur objective, et qui sont pourtant bien plus précieux qu'un trésor.
Il se souvenait surtout d’un jour pluvieux où les deux garçons s’étaient essayés à la pâtisserie. Ils ne devaient pas avoir plus de douze ou treize ans, et ils avaient passé la journée chez Albert, dans les cuisines, à tenter sans grand succès de faire des crêpes. Franz avait la tête dans les nuages, ce jour-là. Albert l’avait surpris plusieurs fois à le regarder fixement, en silence - il avait même failli brûler une des crêpes.
Il s’était beaucoup ennuyé cet hiver-là, et ce moment passé avec son meilleur ami avait été un des meilleurs moments de l’année, avec ce jour de mai où Eugénie, Franz et lui étaient allés à la Grande Galerie de l’Evolution (ils avaient passé près d’une demi-heure à contempler un tigre de Sibérie empaillé, puis à spéculer sur la localisation de la Sibérie).
Ce n’étaient pas des rêves tristes. Ce n’étaient pas des souvenirs mélancoliques.
Pourtant, en se réveillant, Albert ne pouvait s’empêcher de sanglotter silencieusement.
Fandom: Gankutsuou
Personnages: Franz/Albert
Mots: ~215
Rating: PG
Disclaimer: Gankutsuou est au studio Gonzo.
Il arrivait parfois à Albert de rêver de Franz. Ce n’étaient pas des rêves tristes, ou mélancoliques, juste des fragments de souvenirs communs, de ceux qui n’ont aucune valeur objective, et qui sont pourtant bien plus précieux qu'un trésor.
Il se souvenait surtout d’un jour pluvieux où les deux garçons s’étaient essayés à la pâtisserie. Ils ne devaient pas avoir plus de douze ou treize ans, et ils avaient passé la journée chez Albert, dans les cuisines, à tenter sans grand succès de faire des crêpes. Franz avait la tête dans les nuages, ce jour-là. Albert l’avait surpris plusieurs fois à le regarder fixement, en silence - il avait même failli brûler une des crêpes.
Il s’était beaucoup ennuyé cet hiver-là, et ce moment passé avec son meilleur ami avait été un des meilleurs moments de l’année, avec ce jour de mai où Eugénie, Franz et lui étaient allés à la Grande Galerie de l’Evolution (ils avaient passé près d’une demi-heure à contempler un tigre de Sibérie empaillé, puis à spéculer sur la localisation de la Sibérie).
Ce n’étaient pas des rêves tristes. Ce n’étaient pas des souvenirs mélancoliques.
Pourtant, en se réveillant, Albert ne pouvait s’empêcher de sanglotter silencieusement.