На давно почившем форуме яндекс-либерта, помню, всплывал вопрос о знании/незнании (и использовании в литературной и повседневной жизни) иностранных языков нашими персонажами ВФР. Спор был о том, требовалось ли Робеспьеру знание итальянского языка, дабы оценить скабрезность сонетов Пьетро Аретино, которые якобы хулиган Камил Демулен подсунул наивной
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Щитово или нет? 🤭
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Doctor Jean-Paul Marat (1743-93) and his timeas a physician in Great Britain / JR Silver, M-F Weiner
А вот - смелое утверждение из официального источника: "Il avait reçu une instruction étendue, était doué d'une rare mémoire et d'une grande aptitude pour l'étude des langues : il savait le français, l'anglais, l'italien, l'espagnol, l'allemand, le hollandais, le grec et le latin." Именно "знал", считают составители заметки.
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"Marat, doué d'une rare mémoire, d'une grande aptitude pour l'étude des mots (ses portraits le prouvent phrénologiquement, le fait d'ailleurs est commun en Suisse), savait la plupart des langues de l'Europe, le français, l'anglais, l'italien, l'espagnol, l'allemand, le hollandais, le grec et le latin. On peut, sans craindre de trop s'avancer, affinner qu'avec ce bagage de connaissances il était en état de gagner honorablement sa vie. Du reste, cette existence cosmopolite préparait admirablement l'avenir politique du futur législateur. N'avons-nous pas appris dans l'histoire ancienne que les Lycurgue et les Solon commencèrent leurs études par des voyages qui les initiaient aux moeurs et aux lois de tous les peuples du monde ? C'est de bon augure. [13]"
Это из книги Альфреда Бужара "Марат, друг народа" Не могу разобраться, где там расшифрована ссылка 13...
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"Le polygraphe Brissot dressé violemment contre le despotisme royal semble avoir pris pleinement conscience de l’exemple américain par les premiers textes constitutionnels, tel celui de Pennsylvanie qu’il traduit dans sa Bibliothèque du législateur ; mais son intérêt pour les États-Unis s’affirme à la suite de son séjour anglais. Brissot est très tôt attiré par la liberté britannique, dont il profite après son séjour à la Bastille, se lançant dans la publication du Journal du Lycée depuis Londres, où il reste de fin 1784 au tout début de 1788, malgré des allers-retours nombreux en France. D’ailleurs sa femme, Félicité Dupont, originaire de Boulogne-sur-Mer, a fait des études en Angleterre et parle couramment l’anglais, comme son mari ; ce qui lui permet de se tenir au courant des publications anglo-saxonnes."
Фелисите Дюпон, жена Бриссо, училась в Англии и свободно говорила по-английски, как и ее муж.
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