"The body is nothing. Everything. At once"

Phrase sortie de son contexte, extraite d'un texte qui parle de transgender/genderqueer.
Et même si c'est quelque chose qui m'a toujours intéressé et continue de m'intéresser (j'ai toujours aimé les intervalles et les gens qui s'y glissent), aujourd'hui elle me parle pour une toute autre raison.

Voilà, ça ( Read more... )

Inspire... Expire ( Read more... )

Je lis. Je lis et  je me demande ce qui provient de toi, et ce qui émane de l'autre ( Read more... )

J'évite autant que possible de regarder en arrière, je ne suis pas très à l'aise avec ca. Et puis hier en fin d'après-midi j'ai mis 2 pulls dans un sac à dos et je suis partie voir la mer, sur un coup de tête. Dans le train qui me menait vers la Méditerranée, ca me semblait une bonne idée. Mais quand je me suis retrouvée seule, débarquée dans ma ( Read more... )

Courbatures à l'intérieur des cuisses, au creux de l'aine. Mes préférées ( Read more... )

Cette année là, j'avais fais plus de 500 km pour entendre dire … « it means nothing ». A l'est, toujours plus à l'est, le voyage avait duré presque 10 jours, j'avais dormi sur des aires d'autoroutes désertes et grises, j'avais voyagé au fond de camions branlants, au bon vouloir des camionneurs ( Read more... )

Et voilà, une semaine sans manger de viande rouge et à cause de cette foutue anémie de m*rde, je suis crevée dès le reveil, à nouveau.
Ma seule envie actuellement, c'est de dormir, et de ne faire que ça. De construire un igloo avec ma couette.

Trop chouette ma vie !
Et en plus, je ne peux même pas avoir les escarpins qui me font tant envie.

Tu fermes les yeux, puis tu les ouvres, et ainsi de suite, successivement. Tu attends que ça passe, tu contemples les fissures dans les dalles du plafond. Tu n'as pas mal, tu n'es pas mal, non c'est plutôt que tu n'as rien, tu n'es rien.
Tu penses à la vodka qui t'attend ensuite, tu en as déjà bu deux avant, et une troisième ne sera pas de trop.
Tu ( Read more... )

Les câlins, c’est pas seulement par caprice, pour emmerder. C’est aussi, c’est surtout pour faire taire le vide qui s’étale autour. Il n’y a rien de plus flippant que de se faire bouffer par le vide, parce qu’il n’y a pas de lutte possible. C’est juste là, c’est inexplicable, c’est impalpable. Mais ça grandit et ça dévore. Le vide est vorace.

Il n’y ( Read more... )

Je crois que ça résume assez bien tout.
Je lis un livre de Zoé Valdes en ce moment, "La douleur du dollar"... Je l'ai pris par hasard jeudi matin sur ma pile de bouquin à lire, et j'ai bien choisi je dois dire.

J'aime les phrases en vrac, sorties du contexte. J'ouvre mes carnets et j'en trouve des tas.
Je crée des cadavres exquis avec mes mots, écrits ( Read more... )