L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 28 septembre)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme les autres, quoi
(
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Son frère évitait son regard. Anaïs pouvait le comprendre. Après tout, elle venait de débarquer chez lui à l'improviste, elle, la couarde qui avait fui sa famille pour vivre "sa propre vie".
- Je voudrais savoir un truc, fit Camille. Pourquoi tu es partie, il y a six ans ?
La jeune femme baissa les yeux. Elle avait espéré éviter ce sujet.
- J'avais l'impression d'être dans une cage d'or, répondit-elle. Papa n'arrêtait pas de m'imposer ses règles irrationnelles, je ne pouvais plus respirer.
Camille hocha doucement la tête.
- Qu'attends-tu de moi, exactement ?
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Mains dans les poches, Izaya exécute une gracieuse pirouette avant de se laisser tomber à plat sur son canapé.
- Ohlalaaa~ Celty-chan, quelle méfiance injustifiée à mon égard !
Il ne prête pas la moindre attention à la phrase suivante qu'elle tape aussitôt sur son PDA - probablement quelque chose du genre "Objection : méfiance absolument justifiée."
- Non, tu n'as pas à t'en faire, c'est un travail tout ce qu'il y a de plus normal ! J'aimerais juste que tu me débarrasses d'un paquet... encombrant. ... Ne me regarde pas comme ça, je te promets qu'il ne s'agit pas d'un corps humain !
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Depuis la paillasse où on l'a jetée, Kei voit le médecin se pencher au dessus de sa mère. Elle ne le regarde pas secouer la tête, faire signe au prêtre et aux porteurs, arracher la couverture qui protège le corps décharné, ravagé par la maladie. Elle ne peut que fixer, droit devant elle, le bras qui retombe sur le sol, pâle, raide et figé, et s'étonner qu'il ne se brise pas comme un pot d'argile peinte.
Ses paupières sont lourdes, mais elle a trop peur pour fermer les yeux.
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Disparues, les adorables souris sautillantes dans leurs petits uniformes brillants, disparu, le festin de conte de fées, disparu, son papa loufoque et rigolo - mais malheureusement, toujours là, sa grande, fine, jolie, autre maman qui l'aime et la gâte et veut son coeur.
- Ma chérie, murmure la belle-dame en passant ses longs doigts décharnés dans ses cheveux lentement, affectueusement. Mon trésor, ma toute belle, pourquoi ne veux-tu pas rester ici avec moi ? J'exaucerai tous tes voeux, je te rendrai heureuse. Je t'aime, je suis ta mère. Alors pourquoi ne veux-tu pas de moi ?
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- Je t'aime, je suis ta mère ! Alors pourquoi ne veux tu pas de moi ? Pourquoi Théodore ? Pourquoi veux-tu fuir maman !
Toujours les même cris hystériques. Les mêmes coups désespérés de couteau de peinture...
Jezabel la laisse faire, observant la scène en retrait. Il n'intervient que quand la victime tente de s'échapper à cette folie meurtrière - cela n'arrive que rarement car il prend soin de verser quelques drogues abrutissantes dans le verre des jeunes hommes lors du dîner.
Il aime observer Maria, il aime la voir tuer pour satisfaire son amour tordu.
Il se sent si proche de sa folie.
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Pas qu'il ait peur d'elle ! (Qui aurait peur d'une adolescente qui rêve éveillée ?) Non, ce qui est angoissant, c'est de savoir qu'elle est folle. Cliniquement folle. (Schizophrénie.) Car si Yume est folle, si sa vision distordue (tellement plus belle, tellement plus vraie) du monde est un long délire absurde peuplé d'hallucinations, que pourrait-on dire de la santé mentale de celui qui se sent plus à sa place dans cet univers chaotique que dans le monde réel ?
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J'aime que Jiu adhère au monde tel que le perçoit Yume, et qu'il se demande s'il n'est pas malade aussi (c'est sensé, quand on connaît sa famille ^^;).
Merci pour ce joli drabble!
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Pâle, échevelé, il retournait nerveusement les amas de feuilles qui jonchaient sa chambre.
- Diriez- vous que cet homme peut comprendre des concepts créés par une société étriquée tel que celui d'échéance ! Répondez, Violet !
Violet soupira
- Cette fois-ci je doute que simuler une crise de folie suffise à persuader votre éditeur de vous laisser un délai supplémentaire pour lui remettre votre manuscrit...
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- Je doute que simuler une crise de folie suffise à persuader son éditeur de lui laisser un délai supplémentaire pour lui remettre son manuscrit... médite Shujin.
- T'es sûr qu'il simule ? chuchote Saiko, l'air alarmé.
- Je pense. Il n'a peut-être pas toute sa tête, mais encore suffisamment pour trouver le chemin jusqu'ici, en tout cas.
- ... Mouais.
Saiko contemple, songeur, l'auteur d'Otters 11 se roulant sur le sol de leur studio en poussant des cris aigus.
- Dis, Shujin... Pour lui, ça ne risque pas de marcher parce qu'ils y sont habitués de sa part, mais... c'est peut-être pas si bête comme idée.
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(Yoshida c'est son éditeur, c'est bien ça ? Ils sont géniaux tous les deux xD xD faut que je termine de lire, je me suis arrêtée autour du chapitre 60...)
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En général, je trouve les relations mangaka/éditeur vachement sympa dans cette série~)
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Roh, oui, comment je fangirlise sur la relation de Hatori avec Ashirogi Muto, ça fait chaud au coeur comment il s'inquiète pour eux \0/)
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Il a passé tellement de temps à regarder le monde tel qu’il est et tel qu’on peut le rendre, qu’il sait que son esprit ne sera plus jamais pareil. Tant de temps à imaginer comment tuer tel ou tel personne et enfin, ENFIN, voilà l’occasion, l’instant fatidique tant attendu de montrer son talent, tant ignoré, tant… critiqué par ses collègues et supérieurs. Mais c’est dans la folie de l’exploit que vient la gloire et demain, le monde saura son nom. Demain, on aura le nom de Jonathan Lheureduthé gravé sur toutes les lèvres.
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