Arbre à drabbles (12 au 22 novembre) PROLONGÉ
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 1er décembre)
L'arbre est prolongé jusqu'au 30 !
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
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Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
- Qui a dit que la romance était morte ? chuchote Nadia.
Noah ouvre la bouche, la referme, et se jette sur l'encyclopédie.
- Non, non ! s'esclaffe la rousse. C'était une question rhétorique !
- Oh, fait Noah, dépité. J'étais presque content de me voir poser une question dont je ne connaissais pas la réponse. Ca fait si longtemps, se rengorge-t-il.
Nadia acquiesce avec sérieux, avant de reprendre dans un murmure conspirateur :
- Je parlais d'Ethan et Julian. Regarde, ils se tiennent la main !
De l'autre côté de la pièce, Julian remarque poliment :
- Ce n'est pas très beau de jaser dans le dos de ses amis.
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Elle s'y était essayé, mais ce n'était décidément pas pour elle. Ca ne la gênait pas de savoir qu'une fois partie c'était à son tour, ça faisait parti du jeu ; simplement elle commençait à avoir du mal à renouveler ses moqueries. Etre médisante n'était pas si simple et, finalement, pas si drôle.
Alors elle avait préféré traîner avec les garçons et s'était beaucoup mieux intégrée - à ceci près qu'elle ne pouvait participer ni aux comparaisons de taille de pénis ni aux concours de branlette...
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Théo renifla de mépris devant le sourire amusé du vieil homme à la chouette.
"Paul est un idiot, et Agnès est une nymphomane, ils vont très bien ensemble...Au moins, ils mettent leurs tares congénitales en commun, il y aura moins de victimes.
- Théo, tu ne serais pas un peu jaloux de Paul ?"
Le jeune homme eut une moue ennuyée comme s'il réfléchissait, il eut juste un regard un peu perdu.
"Je ne sais plus ce que je ressens vraiment..."
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Il ne sait plus ce qu'il ressent vraiment. Il sait, intellectuellement, qu'Aoki n'est pas Suzuki, qu'avoir en commun une grande taille, un visage souriant et un regard doux ne fait pas d'eux la même personne.
Suzuki n'avait pas peur de lui, pour commencer, et était moins idiot.
Ils ont les mêmes goûts, pourtant, songe Maki en regardant Aoki regarder Yukiko le regarder lui. C'est la même situation ridicule qu'il y a des années, même si Maki n'est pas sûr d'aimer Aoki. Mais si c'est le cas, ce n'est pas seulement parce qu'il lui rappelle l'homme qu'il a aimé et tué.
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À ces mots By se retourne et répond par un large sourire.
« Voyons mon cher Ivan, je ne jase pas, je ne fait que me conformer aux rituels ancestraux Vors qui consistent à analyser las actions politiques ainsi que les vies privées de nos pairs pour des raisons entièrement non-altruistes. En outre en ce qui me concerne Vortymer n'est pas mon ami. » By sourit de nouveau, prédateur, lui attrape le bras. « Et si nous allions plutôt faire honneur à la tradition ancestrale qui consiste à se bourrer la gueule ? »
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Rustik tape sur l’épaule d’Harold.
« Je passe. J’ai un truc à faire.
- Ton "truc" était là toute la journée pendant l'entraînement des nouvelles recrues ! » remarque Astrid, sous les ricanements des jumeaux.
Harold piteusement bat en retraite. Krokmou l'attend dehors, l'air désapprobateur.
« Je sais, je sais… Mais comment tu demandes une Viking cogneuse en mariage, toi ? »
Krokmou penche la tête sur le côté, puis cligne des yeux. Harold soupire.
« Ouais… Merci quand même. »
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- Je peux savoir depuis quand passer sa solde en sake fait parti des traditions du shinsengumi ? À moins que je n'ai omis cet enseignement du bushido pendant mon étude...
- Roh allez, je parlais de notre tradition à nous, du bon temps où on était tous ensemble au dojo. »
Hijikata jeta un bref coup d'œil à Yukimura-kun, toujours présente, discrète et silencieuse, assise dans un coin de la pièce.
« Je crois que ce soir je me contenterai d'une tasse de thé. »
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Ce soir je me contenterai d'une tasse de thé.
Hier j'étais souffrant ; j'hurlais dans mon lit. Je m'abreuvais de laudanum que je vomissais ensuite dans la baignoire.
Demain j'irai fêter ma bonne santé retrouvée en la consumant dans l'alcool et le sexe. Je boirai du vin, du whisky et de l'absinthe jusqu'à être malade à nouveau.
Aujourd'hui je flotte dans les limbes cotonneuses de la convalescence ; en robe de chambre je m'assoie sur la terrasse, un carnet sur les genoux, et regarde mon neveu jouer dans le jardin. Ce matin, cet après-midi, ce soir, je me contenterai de thé.
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Je me contenterais de tes regards, si c'était tout ce que tu me prodiguais volontairement ; de tes sourires, si c'était la seule expression que je pouvais mettre sur ton visage ; de tes mots, si c'était la seule façon par laquelle tu m'exprimais la moindre affection. Je me contenterais d'être là, sans te toucher, sans te dire ce que je ressens ; je serais ton support, ta confidante, ton amie, et rien de plus.
C'est vrai ; je serais heureuse, rien qu'à être à tes côtés, rien qu'à te voir heureuse.
Tout le reste, tout ce que je t'ai fait, c'était pour toi.
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Tout ce que je t'ai fait, c'était pour toi, pour te rendre plus forte. J'en ai souffert aussi, crois-moi. J'ai souffert chaque jour de te voir sangloter, recroquevillée sur le sol de béton froid ; j'ai souffert de te faire subir tout ce que j'avais subit. Je voulais entrer dans ta cellule, te serrer dans mes bras, t'avouer tout et me confondre en excuses.
Cela aurait signifié détruire tout ce que j'avais fais jusque là, tout le chemin que tu avais déjà parcouru. Alors je faisais taire mes remords et continuais à te torturer, attendant que tu n'aies plus peur.
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