Ode pour Tree_of_despair / Quelle vie de chien ! - PG-13 - Sirius
Ode pour la Valentine : tree_of_despair
Titre : Quelle vie de chien !
Cupidon : babydracky
Personnage : Sirius
Rating : PG-13
Nombre de mots : 337
Disclaimer :L'univers de Harry Potter, est à J.K. Rowling.
Mot de la Valentine : J’espère que cette petite drabbles te plaira. Pour ma part c’est mon tout premier texte sur Sirius et je me suis vraiment beaucoup amusée.
Sirius était amoureux.
Rien à voir avec les petites amourettes qu’il avait déjà connues à ce jour et pourtant il en avait eu des amoureuses et des petites copines ! Il fallait reconnaître qu’il était un tombeur et que les filles lui chutaient généralement dans les bras sans trop résister, c’était l’effet « mauvais garçon » de chez les gentils Gryffondor.
Et pourtant, celle-ci résistait. Elle résistait même très bien. Alors que lui n’avait plus d’yeux que pour elle.
Une Serpentard.
Il ne lui avait jamais accordé le moindre intérêt jusqu’à assez récemment. C’était une jeune fille de très bonne famille, froide et sans intérêt comme toutes les autres qui avaient subi la même éducation et le même lavage de cerveau. Pourtant, ils partageaient quelque chose qu’il n’avait jamais partagé avec une autre fille, un secret inavouable.
Il l’avait réellement rencontrée une semaine auparavant. Voulant s’amuser et fuir le stress des examens il s’était adonné à ce qu’il aimait le plus, chasser les petits herbivores sous sa forme noir-de-jais canine et c’est là qu’il l’avait vue. Une chienne élancée au pelage de neige qui poursuivait un lapin affolé. Il avait abandonné sa proie pour se lancer à la poursuite de la belle créature dont le fessier dansait dans un envoûtant va-et-vient. Quand il l’avait rattrapée, non sans avoir saluer en premier ce-dit fessier, remuant la queue comme tout bon chien heureux, un coup de mâchoire avait répondu sans attendre avant que la demoiselle ne perde sa concentration et ne redevienne humaine sous ses yeux éberlués.
Depuis qu’il connaissait son secret, il avait également découvert qu’il aimait la manière dont ses hanches se balançaient quand elle marchait. Aucun doute que cette gifle avait été méritée, celle-là même qu’elle lui avait assénée quand ses mains s’étaient égarées.
Mais elle l’avait reconnu, il le savait, c’est pourquoi il lui souriait de l’autre bout de la salle alors qu’elle faisait de grands efforts pour ne pas croiser son regard insistant.
Peine perdue. Le canin en lui ne la laisserait pas l’abandonner.
Titre : Quelle vie de chien !
Cupidon : babydracky
Personnage : Sirius
Rating : PG-13
Nombre de mots : 337
Disclaimer :L'univers de Harry Potter, est à J.K. Rowling.
Mot de la Valentine : J’espère que cette petite drabbles te plaira. Pour ma part c’est mon tout premier texte sur Sirius et je me suis vraiment beaucoup amusée.
Sirius était amoureux.
Rien à voir avec les petites amourettes qu’il avait déjà connues à ce jour et pourtant il en avait eu des amoureuses et des petites copines ! Il fallait reconnaître qu’il était un tombeur et que les filles lui chutaient généralement dans les bras sans trop résister, c’était l’effet « mauvais garçon » de chez les gentils Gryffondor.
Et pourtant, celle-ci résistait. Elle résistait même très bien. Alors que lui n’avait plus d’yeux que pour elle.
Une Serpentard.
Il ne lui avait jamais accordé le moindre intérêt jusqu’à assez récemment. C’était une jeune fille de très bonne famille, froide et sans intérêt comme toutes les autres qui avaient subi la même éducation et le même lavage de cerveau. Pourtant, ils partageaient quelque chose qu’il n’avait jamais partagé avec une autre fille, un secret inavouable.
Il l’avait réellement rencontrée une semaine auparavant. Voulant s’amuser et fuir le stress des examens il s’était adonné à ce qu’il aimait le plus, chasser les petits herbivores sous sa forme noir-de-jais canine et c’est là qu’il l’avait vue. Une chienne élancée au pelage de neige qui poursuivait un lapin affolé. Il avait abandonné sa proie pour se lancer à la poursuite de la belle créature dont le fessier dansait dans un envoûtant va-et-vient. Quand il l’avait rattrapée, non sans avoir saluer en premier ce-dit fessier, remuant la queue comme tout bon chien heureux, un coup de mâchoire avait répondu sans attendre avant que la demoiselle ne perde sa concentration et ne redevienne humaine sous ses yeux éberlués.
Depuis qu’il connaissait son secret, il avait également découvert qu’il aimait la manière dont ses hanches se balançaient quand elle marchait. Aucun doute que cette gifle avait été méritée, celle-là même qu’elle lui avait assénée quand ses mains s’étaient égarées.
Mais elle l’avait reconnu, il le savait, c’est pourquoi il lui souriait de l’autre bout de la salle alors qu’elle faisait de grands efforts pour ne pas croiser son regard insistant.
Peine perdue. Le canin en lui ne la laisserait pas l’abandonner.