Si un jour ...
... je chope le gars qui a eu cette merveilleuse idée qu'est "faire la grève", je lui colle une tête au carrée.
Demain, je bosse (moi) et j'ai 0 caissières le matin et peut-être, peut-être, une caissière à partir de 13h30.
Au lieu de quatre et cinq.
Donc je vais en baver.
Et je déverserai mon fiel si je veux, d'abord.
Nan sans déc', je n'ai absolument rien contre les gens qui vont jusqu'au bout de leurs idées.
Manifester ? Faire la grève ? Ok.
Sauf quand "faire la grève" est synonyme de :
- je reste chez moi (mais je fais la grève hein)
- je vais traîner au bar avec des potes (mais je fais la grève hein)
- je vais faire du shopping (mais je fais la grève hein)
- je fais acte de présence une heure à peine et puis je me casse (mais je fais la grève hein)
Non, je ne fais pas du mauvais esprit.
Lors des grèves les années précédentes tous ces cas ont été constatés chez une bonne partie de nos soit-disants grévistes ou évoqués par les personnes concernées en salle de pause après les faits (oui parce qu'en plus ils n'ont même pas honte de le reconnaître devant leurs collègues qui sont restés bosser). Je vais pas dire tous, parce que je sais que certains ont des convictions mais ils sont pas nombreux.
En attendant j'en ai ras-le-cul de ces gens qui prennent la grève comme excuse pour faire péter un jour de boulot. Un peu comme ces collégiens et lycéens qui vont manifester sans vraiment savoir pour quoi (généralement contre une réforme universitaire qui, lorsqu'ils seront en âge d'aller à la fac, aura de toute façon été remplacée par autre chose) juste pour faire péter un jour de cours et se la jouer "han t'as vu? J'ai une opinion moi d'abord, je manifeste môa".
Me faites pas rire.
Puisque les syndicats ont LA solution miracle au problème de chômage, de surendettement, des retraites, de la précarité ... Eh bien qu'ils se gênent pas ! Ils n'ont qu'à la donner leur recette !!
Oh attendez, c'est quoi leur recette miracle au fait ? (retourne voir le panneau FO au boulot). Ah oui !
Alors pour lutter contre la précarité, le problème des retraites tout ça tout ça, FO préconise :
- augmenter les aides et les allocations (et comment ils vont financer ça ?)
- prendre en compte les années d'études pour la retraite (ah ah ah)
- augmenter le SMIC
- augmenter les charges patronales (comme si les petites entreprises en avaient pas déjà assez)
- augmenter le nombre de fonctionnaires (y'a bien qu'un syndicat pour penser qu'augmenter le nombre de fonctionnaires va faire diminuer les dépenses publiques)
Et là je cite que les grandes lignes.
Donc moui bon, pourquoi pas. Sauf qu'ils ne répondent pas à ZEU question à 1000 euros. Les sous ils les trouvent où ? Sous le croupion d'un poulet peut-être ?
Le syndicalisme de ces dernières années je n'y crois pas.
Surtout quand je vois ses représentants et leur comportement, que ce soit à une échelle locale (l'entreprise où je bosse) ou nationale.
Qu'ils fassent les appels à la grève un dimanche et on en recausera.
Oui, je suis une fille de patron (ex-patron).
Non, c'est pas forcément pour ça que je n'ai pas une très haute estime des syndicats.
C'est mon avis, c'est mon ressenti, ça vous plaît pas, tant pis.
J'en ai marre d'avoir l'impression qu'il faudrait que j'ai honte de mes opinions simplement parce que je suis pas dans la tendance "humaniste-bien-pensante-politiquement-correcte" du jour.
Demain, je bosse (moi) et j'ai 0 caissières le matin et peut-être, peut-être, une caissière à partir de 13h30.
Au lieu de quatre et cinq.
Donc je vais en baver.
Et je déverserai mon fiel si je veux, d'abord.
Nan sans déc', je n'ai absolument rien contre les gens qui vont jusqu'au bout de leurs idées.
Manifester ? Faire la grève ? Ok.
Sauf quand "faire la grève" est synonyme de :
- je reste chez moi (mais je fais la grève hein)
- je vais traîner au bar avec des potes (mais je fais la grève hein)
- je vais faire du shopping (mais je fais la grève hein)
- je fais acte de présence une heure à peine et puis je me casse (mais je fais la grève hein)
Non, je ne fais pas du mauvais esprit.
Lors des grèves les années précédentes tous ces cas ont été constatés chez une bonne partie de nos soit-disants grévistes ou évoqués par les personnes concernées en salle de pause après les faits (oui parce qu'en plus ils n'ont même pas honte de le reconnaître devant leurs collègues qui sont restés bosser). Je vais pas dire tous, parce que je sais que certains ont des convictions mais ils sont pas nombreux.
En attendant j'en ai ras-le-cul de ces gens qui prennent la grève comme excuse pour faire péter un jour de boulot. Un peu comme ces collégiens et lycéens qui vont manifester sans vraiment savoir pour quoi (généralement contre une réforme universitaire qui, lorsqu'ils seront en âge d'aller à la fac, aura de toute façon été remplacée par autre chose) juste pour faire péter un jour de cours et se la jouer "han t'as vu? J'ai une opinion moi d'abord, je manifeste môa".
Me faites pas rire.
Puisque les syndicats ont LA solution miracle au problème de chômage, de surendettement, des retraites, de la précarité ... Eh bien qu'ils se gênent pas ! Ils n'ont qu'à la donner leur recette !!
Oh attendez, c'est quoi leur recette miracle au fait ? (retourne voir le panneau FO au boulot). Ah oui !
Alors pour lutter contre la précarité, le problème des retraites tout ça tout ça, FO préconise :
- augmenter les aides et les allocations (et comment ils vont financer ça ?)
- prendre en compte les années d'études pour la retraite (ah ah ah)
- augmenter le SMIC
- augmenter les charges patronales (comme si les petites entreprises en avaient pas déjà assez)
- augmenter le nombre de fonctionnaires (y'a bien qu'un syndicat pour penser qu'augmenter le nombre de fonctionnaires va faire diminuer les dépenses publiques)
Et là je cite que les grandes lignes.
Donc moui bon, pourquoi pas. Sauf qu'ils ne répondent pas à ZEU question à 1000 euros. Les sous ils les trouvent où ? Sous le croupion d'un poulet peut-être ?
Le syndicalisme de ces dernières années je n'y crois pas.
Surtout quand je vois ses représentants et leur comportement, que ce soit à une échelle locale (l'entreprise où je bosse) ou nationale.
Qu'ils fassent les appels à la grève un dimanche et on en recausera.
Oui, je suis une fille de patron (ex-patron).
Non, c'est pas forcément pour ça que je n'ai pas une très haute estime des syndicats.
C'est mon avis, c'est mon ressenti, ça vous plaît pas, tant pis.
J'en ai marre d'avoir l'impression qu'il faudrait que j'ai honte de mes opinions simplement parce que je suis pas dans la tendance "humaniste-bien-pensante-politiquement-correcte" du jour.