En vrai je voulais faire un gros post pour donner des nouvelles et tout, mais ça c'était la théorie. Le post viendra sûrement, mais au final, j'ai la flemme ce soir.
Alors pour arrêter de tourner en mode monomaniaque sur le dernier trailer de The Dark Knight Rises (OMG OMG OMG !), un meme que j'ai vu tourner un peu partout sur ma F!List :D Ca m'a
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Comments 12
On va dire Tais-toi et creuse !
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Un grognement de protestation, et les voilà déjà de retour dans leur sinistre tâche. Coup après coup, les muscles saillants, tendus, la transpiration qui goutte lentement dans leur dos. Ce sont des pirates, l’air patibulaire, concentrés sur leur but. Ils n’auront pas de répit tant que ( ... )
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C'est un nom définitif, Truc ?
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Alors, euh. Je ne crois pas, non ! :D J'ai du écrire ce morceau lors d'une word war au début de Muse Random, donc c'est devenu "Truc" par manque de temps.
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*note de moi à moi : ne plus me moquer de Camille sur sa prévisibilité*
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J'aurais pu te mettre un autre extrait, mais je vais choisir sciemment celui-là :D
Il n’avait appris son nom que plus tard, à la répartition. Pas difficile de le repérer, il n’y avait que peu d’élèves de cette couleur de peau, avec une apparence aussi soignée, et un sourire qui n’atteignait jamais ses yeux. Blaise Zabini. Serpentard. Comme par hasard, avait dit Seamus. Ces gens-là, on les repérait sans peine, à la première seconde on pouvait deviner où ils atterriraient. Dean gardait un souvenir un peu confus de ce qu’il avait ressenti à ce moment-là. Peut-être un vague sentiment de honte d’être tombé aussi bêtement, mélangé à la colère d’être jugé sur quelques secondes. Ou bien que c’était bête que quelqu’un d’aussi esthétique ne soit pas capable de faire un sourire digne de ce nom.
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*baragouine* gniiiiiiiiiiiiiiih et c'est long comment ton truc là en vrai ? *___*
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Alors en vrai, ça fait une page et demie (environ 1 000 mots), et ça date de, euh. Février 2010. J'avais commencé ça sur le combo de prompts "Photo souvenir, calepin, pluie d’été, premier regard, panneau d’affichage"
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« Et de toute façon, toi, t’es moche. »
Inconnu retint de justesse l’envie de se cogner le crâne à répétition contre son bureau, jusqu’à ce que mort s’ensuive par écoulement de son cerveau par les oreilles, et possiblement les narines. Ce n’était certainement pas une belle mort, mais au moins, il l’aurait mérité. On était tellement con quand on était gosse. On enchaînait les bêtises, on sortait des illogismes, des contre-sens, on croyait dur comme fer à des fariboles sans fins, comme cette foutue histoire de vieux bonhomme rouge qui faisait « Ohohoh » à longueur d’année en se gelant le derrière sur la banquise. (Qui pouvait sérieusement croire que tous les jouets du monde se fabriquaient au Pôle Nord, enfin ?) C’était logique qu’on ne réfléchisse pas vraiment, après tout, le cerveau était encore en construction. Par contre, on avait moins d’excuses lorsqu’on était adolescent. (Même si des tas de gens assuraient le contraire. )
(Et encore congrats, hein ♥)
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