[Harry Potter] Let it snow - 22/25 - Harry/Draco - G
Titre : Let it snow
Auteur : camille_miko
Rating : G
Disclaimer : Hormis l'histoire, patamoi.
Chapitre : 22/25
Fandom : Harry Potter
Pairing : HPDM
Résumé : Draco n’aurait jamais cru être responsable de quatre enfants, un jour. C’est pourtant ce qui se passe en cet avent de Noël.
Bêta : Miya_Morana
AO3 // FF.net //
« 22 Décembre 2015
Harry,
James a demandé à décorer la maison. Pas l’intérieur, nous avions déjà pris cela en charge avec Scorpius, Albus et Lily. Non, il voulait décorer l’extérieur, comme il n’avait rien pu faire.
Donc, sans surprise, nous avons fini dans un magasin. Un iiiiimmense magasin, à trois jours de Noël. Je suis officiellement fou d’accepter de telles choses, tu le sais ? Mais hier a attendri mon cœur sombre et dur de vil Slytherin, alors, je me suis laissé toucher par la détresse d’un pauvre gryffy essayant de me faire croire qu’il est un cocker martyrisé.
J’ai une grande nouvelle pour toi. Il est aussi ton fils. Il ne sait pas non plus faire le cocker martyrisé pour me faire plier. C’est assez impressionnant que de telles inaptitudes puissent être génétiques, ainsi.
Quoi qu’il en soit, je l’ai pris en pitié et nous avons fait du shopping tous ensemble. La neige a intérêt à tomber, car sinon, je risque d’avoir une mini révolution pour avoir refusé d’acheter de la fausse neige pour couvrir tout le jardin. Pour le reste, j’ai été plutôt accommodant.
Ce n’est pas compliqué. Si tu ne sais plus comment rentrer à la maison, il te suffit de faire le tour du quartier, de chercher la maison la plus surchargée de lumières, de décoration, de… De tout, jusqu’à des mobiles illuminés dans le jardin, et tu auras trouvé ta maison.
A ma décharge, je dois quand même te dire que j’ai lancé un sort sur la maison. Les Moldus ne voient pas l’ampleur des dégâts. Ils ne perçoivent que quelques décorations sur la façade, comme chez tes voisins. Je me suis dit que cela attirerait moins de questions, vu qu’officiellement tu ne vis que des traites de ton petit-ami le romancier et de ton salaire d’employé d’un Ministère, et non de nos deux fortunes personnelles, en plus de cela.
Je tiens aussi à ajouter à notre défense que nous avons tout installé à la Moldu. Il n’y a pas eu le moindre sort magique, à l’exception de ceux de sécurité comme s’assurer que l’échelle ne puisse pas bouger. Je suis certain que cela doit - un tout petit peu - atténuer le montant de la facture que tu ne manqueras pas de trouver à ton retour dans mes affaires. Malencontreusement, évidemment, vu que je te connais.
C’était une bonne journée aujourd’hui. Tout simple, pleine de rire avec quatre enfants absolument ravis de finir la journée avant d’aller se brosser les dents et se coucher sur une tasse de chocolat chaud avec de la guimauve dedans. Recette généreusement dictée par Ginny, hier, et réalisée par ma personne. Je ne sais pas si c’était vrai, mais tes enfants ont dit qu’il était presque aussi bon que celui de leur mère. Personnellement, je juge cela comme un aboutissement terrible dans ma carrière de cuisinier très moyen.
C’était une belle journée, même si tu m’as terriblement manqué, encore une fois. J’aimerais que tu ais pu partager ce bon moment avec nous, tout comme tes enfants, j’en suis certain.
Je t’aime.
Draco. »
A suivre…
Auteur : camille_miko
Rating : G
Disclaimer : Hormis l'histoire, patamoi.
Chapitre : 22/25
Fandom : Harry Potter
Pairing : HPDM
Résumé : Draco n’aurait jamais cru être responsable de quatre enfants, un jour. C’est pourtant ce qui se passe en cet avent de Noël.
Bêta : Miya_Morana
AO3 // FF.net //
« 22 Décembre 2015
Harry,
James a demandé à décorer la maison. Pas l’intérieur, nous avions déjà pris cela en charge avec Scorpius, Albus et Lily. Non, il voulait décorer l’extérieur, comme il n’avait rien pu faire.
Donc, sans surprise, nous avons fini dans un magasin. Un iiiiimmense magasin, à trois jours de Noël. Je suis officiellement fou d’accepter de telles choses, tu le sais ? Mais hier a attendri mon cœur sombre et dur de vil Slytherin, alors, je me suis laissé toucher par la détresse d’un pauvre gryffy essayant de me faire croire qu’il est un cocker martyrisé.
J’ai une grande nouvelle pour toi. Il est aussi ton fils. Il ne sait pas non plus faire le cocker martyrisé pour me faire plier. C’est assez impressionnant que de telles inaptitudes puissent être génétiques, ainsi.
Quoi qu’il en soit, je l’ai pris en pitié et nous avons fait du shopping tous ensemble. La neige a intérêt à tomber, car sinon, je risque d’avoir une mini révolution pour avoir refusé d’acheter de la fausse neige pour couvrir tout le jardin. Pour le reste, j’ai été plutôt accommodant.
Ce n’est pas compliqué. Si tu ne sais plus comment rentrer à la maison, il te suffit de faire le tour du quartier, de chercher la maison la plus surchargée de lumières, de décoration, de… De tout, jusqu’à des mobiles illuminés dans le jardin, et tu auras trouvé ta maison.
A ma décharge, je dois quand même te dire que j’ai lancé un sort sur la maison. Les Moldus ne voient pas l’ampleur des dégâts. Ils ne perçoivent que quelques décorations sur la façade, comme chez tes voisins. Je me suis dit que cela attirerait moins de questions, vu qu’officiellement tu ne vis que des traites de ton petit-ami le romancier et de ton salaire d’employé d’un Ministère, et non de nos deux fortunes personnelles, en plus de cela.
Je tiens aussi à ajouter à notre défense que nous avons tout installé à la Moldu. Il n’y a pas eu le moindre sort magique, à l’exception de ceux de sécurité comme s’assurer que l’échelle ne puisse pas bouger. Je suis certain que cela doit - un tout petit peu - atténuer le montant de la facture que tu ne manqueras pas de trouver à ton retour dans mes affaires. Malencontreusement, évidemment, vu que je te connais.
C’était une bonne journée aujourd’hui. Tout simple, pleine de rire avec quatre enfants absolument ravis de finir la journée avant d’aller se brosser les dents et se coucher sur une tasse de chocolat chaud avec de la guimauve dedans. Recette généreusement dictée par Ginny, hier, et réalisée par ma personne. Je ne sais pas si c’était vrai, mais tes enfants ont dit qu’il était presque aussi bon que celui de leur mère. Personnellement, je juge cela comme un aboutissement terrible dans ma carrière de cuisinier très moyen.
C’était une belle journée, même si tu m’as terriblement manqué, encore une fois. J’aimerais que tu ais pu partager ce bon moment avec nous, tout comme tes enfants, j’en suis certain.
Je t’aime.
Draco. »
A suivre…