Etienne de la Boetie.
Dans les années 80, du temps de ma folle jeunesse, de mes pardessus en moulin, de mes incartades incartables, on écoutait, comme aujourd'hui, un vache de conneries en tout genres. Y avait les bêtises de Paturel, le fallait pas commencer de Lio (rigolo, hein ?) l'innénarable Jean-Pierre Madère, les Avions que j'ose à peine
(
Read more... )
Comments 5
Je me permet au passage d'étaler-confiturer une phrase de Diderot que j'aime.
"La liberté d'écrire et de parler impunément marque soit l'extrême bonté du tyran soit l'extrême impuissance de son peuple, car on ne permet de dire qu'à celui qui ne peut rien."
Reply
Reply
La Boetie méritait bien ça!
Reply
Reply
Reply
Leave a comment