Chapitre 13: Funèbre journée et elle ne fait que commencer...
Notes: Vous vouliez savoir.. maintenant vous le savez....
Le sommeil le joignis, il avait omis de faire ses devoirs mais il se promit de les faire en revenant le lendemain. Lorsqu'il se réveilla la douce lueur tièdes des rayons du soleil lui caressaient la joues, ils n'étaient pas les seuls, les cheveux de la jeune Yuna étaient aussi de la partie. Inoo se débarrassa des fin cheveux qui se baladaient sur son visage. La propriétaire de cet poignée de cheveux dormait toujours calmement se servant de ses petites mains comme oreiller ayant repoussé les cousins quelque part pendant la nuit. Il se leva doucement, observant son réveil, les cours avaient déjà démarrés. Ils alla chercher son fixe et téléphona a la petite maternelle de Yuna. Ils expliqua que la petite était malade, il mentait mais en ce moment même cela lui importait peu. Il alla tiré sa nièce des bras de Morphée. Elle rechigna mais ce leva. Elle regarda la fenêtre et sembla inquiète. Inoo le vit et la rassura de suite. Il alla lui chercher des vêtements incroyablement sombres, comme les siens dont il s'était vêtit un peu plus tôt, il lui demanda aussi de mettre un masque, celui que l'on trouve dans les pharmacies pour le cas où on les reconnaitraient qu'ils n'ai pas d'ennuis. Ils sortirent la petite demanda « On va voir papi et mamie? », Inoo se rendit compte alors a quel point les gosses on de l'intuition ou font déjà preuve d'un grand esprit de déduction pour leur age a moins que Yuna n'excelle spécialement dans ce domaine. Il hocha de la tête par l'affirmative. Il passèrent chez un fleuriste où Yuna choisit un bouquet de plusieurs fleurs plus resplendissantes les unes que les autres. Ils marchèrent en silence jusqu'à ce qu'ils arrivent au cimetière. Comparer a ce que l'on aurait pu penser, le lieux n'était pas lugubre, la plupart des tombes étaient largement fleuris et souvent entretenus. Ils marchèrent dans l'une des longues allées, Yuna serrait la main de Inoo alors que celui-ci regardait les différentes tombent qui se succédaient a son regard, certaines étaient couverte de fleurs, débordants sur les tombes voisines, d'autres souffraient d'un entretiens régulier mais sans plus. D'autre encore ne semblaient jamais avoir connus un bon nettoyage. Ces tombes là ne pouvait que crée un pincement au cœur de Inoo, il ne pouvait que s'imaginer son nom gravé sur ce style de tombe, excluant les fleuris de sa liste de possibilité. Il fut sortis de ses pensée morbides par une pression de la petite main de Yuna sur la sienne. La petite voix résonna « Inoo, Yuna pense qu'on a dépasser ». Inoo regarda les alentours, effectivement, en se retournant il vit a quelques tombes de là celle de ses parents. Il fit demi tour, posa le bouquet multicolore et se mit a parler a ses parent au moyen de ses pensées, il s'excusait, beaucoup, énormément. Au sujet de tout et de rien. Il ne se sentait pas triste mais incroyablement vide de l'intérieur. Yuna le regardait sans rien dire, elle comprenait surement mais était trop petite pour tout assimilé. Elle ne dit qu'un « en revoir Papi, Mamie » au travers de son masque, en sortant du lieu de recueillement . Inoo alla se oser sur un banc un peu plus loin, il ne disait rien, s'était la première fois qu'il venait en dehors de l'anniversaire de leur mort, bien qu'il n'ai put pour le moment le célébrer qu'une seul fois. La petite se montra patiente, Inoo ne sut combien de temps exactement il resta planté sur ce banc a quelques carrefours du cimetière. Il soupira un bon coup et força un sourire a apparaître sur ses lèvres, il ne devait pas être convainquant car plusieurs grand-mères qui passèrent devant le banc firent un écart pour passer le plus loin possible de Inoo. Il ne fut pas découragé pour autant. Il se leva prit la main de Yuna et ils allèrent se balader dans le centre-ville. Il devait être aux alentours de une heure lorsque une dame vint attraper le bras de Inoo, elle le sermonna au sujet de Yuna. Il en déduit qu'elle devait être une des profs de la maternelle en charge de sa nièce. Mais il avait tout prévue. Il serra la main de Yuna en espérant que la petite comprenne qu'il fallait qu'elle prouve a sa maitresse qu'elle était réellement malade. Inoo ne sut si sa télépathie avait marcher mais quelques secondes après Yuna éternua violemment. Une seconde après, il ajouta qu'ils allaient chez le médecin. La bonne femme s'en alla aussi soudainement qu'elle était apparut. Il était fière de lui, tout les deux allèrent manger quelque chose dans un petit restaurant en face du quel se trouvait un de ses clubs grippent sous : Un club d'hôte. Inoo changea de trottoir en passant devant et tout deux s'installèrent a la terrasse du petit café. Yuna était entrain de « manger », enfin de s'étaler la glace sur le visage lorsqu'une silhouette attira les yeux du jeune homme du côté du club d'hôte. Inoo cessa immédiatement de rire. Il fixa la silhouette qui s'éloignait dans le bâtiment, deux possibilité : Soit Hikaru est de l'autre bord -ce qui paraissait totalement plausible suite a l'épisode des toilettes- soit il était lui-même hôte. Dans ce cas Inoo tenait sa vengeance. En tant que mineur en aucun cas le jeune homme avait le droit de travailler dans ce genre d'entreprise et qui plus est le lycée l'interdit strictement. Il tenait sa vengeance : La vengeance par chantage. Enfin faudrait-il encore que ses suspicion s'avèrent juste. Il ne pouvait décemment pas enquêtes avec Yuna, il se ferait repérer trop facilement. Il regarda la petite sans vraiment la voir, il réfléchissait a un moyen de se retrouver seul. Quand tout un coup un visage lui traversa l'esprit, il regarda sa montre, 14 heures, il en déduit que le jeune homme devait toujours être en cours. Il dégaina son portable et envoya un texto, en priant pour que son ami est eu la présence d'esprit de mettre son portable sur « vibreur » ou « silencieux ». Maintenant il lui fallait attendre en espérant que le poisson ne se faufile pas au travers du filet. Il revint a lui en voyant sa petite nièce la trace de la coupe, qui avait contenus le maquillage éphémère sertie autour de la bouche de la petite. Il se mit a rire tout en essuyant sa nièce, il replaça le masque, paya et s'en alla. Tout deux se baladèrent dans les rue de Tokyo. S'arrêtant de temps a autre pour aller au pipi-room ou encore acheter quelques petits gadget, objets de décorations ou jouet pour la maison. Malgré son masque on pouvait voir a quel point Yuna était heureuse, et cette bonne humeur se propageait un peu partout faisant sourire quelques passants et Inoo lui-même. La petite manifesta des premiers signent de fatigue aux alentours des quinze heures trente. Inoo décida alors de rentrer, il patienterait une demi-heure a la maison avant d'aller déposer Yuna a Yamada, sa pièce maitresse dans son plan. Bientôt Inoo fut contrains de porter et leurs courses et la petite. Il y arriva tant bien que mal jusqu'à ce qu'on l'appelle sur son portable, il fut obligé de se tenir contre un mur pour ne lâcher aucun de ses précieux paquets. Il décrocha tant bien que mal et tomba sur un Yamada entouré d'un brouhaha qui rendait la conversation difficile. Mais ils réussirent a se comprendre et dix minutes après Yamada emportait sur son dos la nièce de son ami. Inoo fit un bref saut a l'appartement et retourna a son lieu de déjeuner pour en savoir plus. Il décida d'aller tout d'abord voir le panneau où le club affichait, tel des objets a mettre en valeur, les photos de leurs hôtes. Il parcouru l'affiche et le vit, 10 ème photo, toujours le même prénom mais le nom avait changé, une fausse identité? Peut-être bien. Inoo fit des allé-retour devant la devanture du club hésitant a entrer, et que dirait il au jeune homme : « Fait ce que je dit où je te dénonce », non trop puéril. Il chercha ruminant jusqu'à ce qu'un voie l'interpelle nonchalamment, il en reconnue immédiatement de timbre. Les quelques mots résonnèrent a ses oreilles « Et toi! Bouge ton petit cul de là tu fais fuir les clients », finalement le jeune homme fut rassurer de voir que Hikaru se comportait ainsi avec tout le monde et pas seulement lui. Il releva la tête apercevant pour le première fois on interlocuteur, ce dernier surpris laissa sa cigarette allé s'écraser au sol. Inoo était fière de son effet de surprise il tenta de cacher un sourire naissant sous une mine suspicieuse. Mais finalement ce qu'il remarqua le plus c'est la beauté de Hikaru. Tout d'abord il s'était ou on l'avait maquillé de tel façons a ce que ses méchants bleus devenus jaune verdâtre, n'apparaisse plus. Ses yeux avaient été souligné d'un fin trait noir les rendant encore plus attirants. Ses habilles eux aussi étaient là pour le mettre en valeur. Un silence s'installa, Hikaru était sur le point de prendre la parole lorsque le téléphone de Inoo sonna. Ce dernier décrocha, une voix paniqué fit changer les couleurs vives de ses joues en une pâle imitations de rosé. Il eu souffle coupé.