Chapitre 15, et si cette personne ne voulait pas que ça se finisse
Note: Un deuxième chapitre en deux jours, Mawi is sympathic ne?
Inoo continua a observé la pluie tomber, elle était devenue transparente a ses yeux il ne la voyait plus tomber. Il pensait. A ça situation actuel, ce qu'elle serai dans le futur, il pensait a Yuna, au lycée. Et s'il abandonnait le lycée? Ses paupière ce faisaient lourdes, il ne luttait plus, elles se fermèrent.
Inoo n'ouvrit pas ses yeux de suite il profitait la sensation de douceur contre sa joue, la couette remonter jusqu'au cou et la chaleur agréable qui s'échappait de cette dernière. Tout d'un coup il ouvrit les yeux. Une couverture? Un matelas et un oreiller? Il se releva pour se retrouver assis sur la couche confortable qui se révélait médiocre. La couverture qui avait garder la chaleur agréable était trouée a plusieurs endroit, l'oreiller était taché de plusieurs choses non-identifié, le matelas était posé sur des carton a même le sol. En réalisant qu'il ne connaissait pas l'endroit Inoo eu le réflexe de regarder dans qu'elle tenue il se trouvait. Il ferma les yeux et souleva la couverture, il en ouvrit hein et vit avec effarement qu'il était toujours habillé mais qu'un bon quart du bas de son jean avait été coupé violemment au ciseaux. Il observa autour de lui en cherchant les bout de son jean qu'un plaisantin avait dû lui couper. Ils les vient, les restes de son jean étaient a quelques mettre du « lit », a coter de ce qui ressemblait a un carton plein de vêtement, Inoo pensa d'abord que le carton contenait d'autre bout de jean ou de vêtement appartenant a de pauvre gens, mais en s'approchant il remarqua que les vêtements du carton étaient intacte. Le plus effarant, était la chemise qui surplombait le carton qui servait de table de nuit, celle de Hikaru la veille. Il y eu un déclic. Inoo observa autour de lui, il se trouvait dans une sorte de hangar vide ou seul la poussière bougeait. Il observa un peu et vit une fenêtre a quelque mètre, un carreau cassé. Il se leva et regarda au travers de cette dernière, il pu voir la petite ruelle ou il s'était réfugié, le soleil tapait dans une des poubelle en face, la rue était calme mais le brouhaha des voitures et passant parvenait aux oreille de Inoo. Quelque chose le frappa, le sol était sec, or lors de ça rencontre avec Hikaru il pleuvait des cordes. Inoo paniqua, depuis combien de temps était-il ici, quel heure était-il et Yuna où était-elle. Il chercha des yeux une porte ou tout autre moyen de sortir mais rien. Il n'y avait pas de réveil, son portable n'avait plus de batterie. Il se mit a s'arracher les cheveux et a faire les cents pas. Au bout d'un quart d'heure le bruit d'un couvercle de poubelle touchant le sol et une voie familière l'interpella. Il courut dans la direction d'où le bruit venait et vit l'une des pires choses qu'il pouvait imaginer. A environ un mètre soixante de hauteur une fenêtre s'était ouverte et Hikaru s'y était glissé mais il n'était pas seul. Yuna le suivait. Hikaru sauta et tendit les bras vers la petite qui lui sauta au cou en rigolant. Hikaru chatouilla la petite qui ne fit que rire un peu plus. Puis il s'arrêta en remarquant Inoo, il se tenait contre l'une des poutre en métal rouillé. Hikaru soupira un « ho..ho.. » et fit mine d'attendre une claque qui ne vint pas. Inoo ne faisait enfaite même plus attention a son ami le jeune homme s'était approché de sa nièce et l'auscultait avec concentration, Il lui demandait sans-cesse si elle se portait bien. Hikaru leva les yeux au ciel. Yuna regarda son oncle, elle répondait a ses questions mais ne semblait pas particulièrement heureuse de le voir. Inoo se releva heureux de voir que sa nièce se portait bien, malheureusement sa joie fut de courte durée. Il tendit les bras mais Yuna ne vint pas elle tenait toujours la main de Hikaru, qui se sentait particulièrement mal a l'aise. Et la petite parla.
« Inoo-chan est méchant, Yuna veux pas rentrer, Yuna veux rester avec Hikaru-nii-chan » les deux concerner firent un bon de surprise. Inoo avait perdu toute joie de son visage, et Hikaru semblait particulièrement perdu.
« m'enfin voyons Yuna, c'est Inoo qui s'occupe de toi pas moi.... hé! Inoo me regarde pas comme ça j'ai rien fait! » Inoo fusillait son camarade de classe du regard. Yuna tenait fermement le main de se dernier et le concerner tentait de trouver une solution. C'est Yuna qui repris la parole en premier
« Avec Hika-nii-chan on s'amuse plus qu'avec toi, il fait mieux la cuisine que toi et il est plus gentil » Hikaru et Inoo virèrent au rouge mais pour deux raison différente, l'un était au bord de la crise de nerfs l'autre rougissait face au compliment. Inoo s'apprêta a répondre mais tout devint noir, et ses paupière se fermèrent a nouveau, sa tête heurta violemment le seul le bruit fut couvert par les cris de ses deux interlocuteur.
Lorsqu'il se réveilla a nouveau il faisait nuit, quelque chose de frais était pausé sur son front. Une boule de chaleur était collé a lui, son t-shirt était humide. Il cligna plusieurs fois des yeux avant de s'habituer a la noirceur ambiante. La couverture le couvrait mais il frissonna, il faisait froid très froids. Il se releva péniblement entendant la boule de chaleur poussé un grognement de mécontentement. Yuna, la zone humide du t-shirt de Hikaru correspondait étrangement aux yeux de Yuna. Il vit poser sur la table de nuit en carton le portable de Hikaru. Il le prit et vit un message s'afficher
« s'il y a un problème tu peux m'appeler a ce numéro, si vous avez froids prenez des pull dans le carton ».
Hikaru se leva, prit un pull et s'éloigna de la zone réservée au sommeil. Le bâtiment était particulièrement effrayant mais Inoo se trouva un coin assez éloigné pour joindre Hikaru. Il composa le numéro indiqué et patienta en observant les nuages de vapeur sortir de sa bouche. La tonalité se fit entendre puis une voie grave décrocha, Inoo eu dû mal a comprendre, derrière le combiné il y avait énormément de bruit on aurait dit un chantier. Inoo réussit a se faire comprendre et il patienta encore, puis la voie de Hikaru se fit entendre.
« Oui allô Yuna? Je te dit d'aller dormir s'il se réveil et qu'il voit que tu n'est pas là il va paniquer
-De quel droit tu parle a ma Yuna comme ça?!
-Ha! Inoo, désole je croyais que s'était encore t'a gosse
-Elle t'a beaucoup appelé ?
-Non seulement 45 fois en Cinq heure, et là sa faisait une heure qu'elle appelait plus
-Ha...J'ai une question? J'ai dormi combien de temps?
-7 jours
-non, c'est pas vrai hein?
-Je rigole pas, quand tu nous a vu rentrer Yuna revenait de son premier jour d'école après l'hôpital.
-Tu peux me raconter?
-Enfaite, je me suis un peu inquiéter car je ne t'avais pas entendu te lever, quand la pluie a redouble je suis sorti voir et tu était encore là. Je me suis approcher et j'ai vu que tu avais de la fièvre. Je me suis alors empressé de te faire rentrer, puis je t'ai coucher. Ton portable a sonner six fois en deux jours au bout de la septième j'ai décroché. C'était l'hosto il voulait savoir si quelqu'un viendrait rendre visite a la ptite. Alors j'y suis allé, je me suis présenté aux infirmière comme étant ton cousin, par contre Yuna est au courant de tout enfin je lui est dit qu'on était copain de classe et que tu était malade. Elle a passé son séjour a me raconter votre vie... J'ai appris plein de truc intéressant. Je crois que c'est tout.
Inoo ne répondit pas, il avait fait ça, lui? Ce con qui embrasse sans raison, a l'évocation de se souvenir Inoo déglutit.
La voie de Hikaru le sortit de ses pensée.
-pour le lycée je les ai prévenus, repose toi bien, demain j'en mène Yuna a l'école et j'ai a te parler. Salut il faut que je retourne bosser. Ciao
Inoo ne put parler, le téléphone raccrocha. Inoo fut emplis d'un sentiment qu'il n'avais pas connus depuis bien longtemps, il étais rassurer, rassurer de savoir qu'il n'avais besoin de se soucier de rien. Et il le devait a Hikaru. Plus il réfléchissait plus il avait dû mal a comprendre le jeune homme, un coup sympathique un coup plus méchant que n'importe qui... Qui se cache réellement derrière se caractère lunatique?