Désolée, je suis souvent par-là pour râler, pour dire tout ce que je ne peux pas dire en public sur facebook ou même sur mon deuxième compte facebook plus privé mais encore trop "public
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Ca a l'air de bien démarrer ton livre ! (je me concentre sur le positif je ne me sens pas armée ou légitime pour commenter le reste ^^") Petite question, m'intéressant de plus en plus à l'autoédition... sur ton site tu dis avoir refusé un contrat avec un éditeur, un grand donc j'imagine que le marketing ou le circuit de distribution derrière ne posait pas le souci... Du coup je trouverais vraiment intéressant de savoir, dans ta démarche, quels sont les éléments du contrat qui t'ont fait préférer monter ta propre maison ?
Tu as lu jusqu'ou ? Parce que pour moi la reponse est evidente, l' editeur voulait ss doute modifie l'histoire trop en profondeur (et ok c cool de preferer ton vrai texte au prestige de l'edition) mais l'inceste magnifie c'est juste invendable a l'edition actuelle. Comment tu veux marketer quand c ecrit comme un truc normal et sublime, c bcp plus simple de le vendre dans ASOIAF Martin montrant clairement que c de la degenerescence. En tout cas en tant qu'editeur je pense que j'aurais pas pris ce risque la.
L'éditeur n'avait pas la moindre intention de modifier le texte, qu'il trouvait quasi nickel (il y avait un point qu'il souhaitait modifier et qui n'a rien à voir avec l'histoire de l'inceste, et il se trouve que j'étais moi-même en train de réécrire le passage en question, m'étant rendu compte avec le recul que ça ne collait pas). Des histoires d'inceste, il y en a à la pelle, prenons l'exemple de Fleurs Captives, de Virginia Andrews, je pense que son éditeur n'a pas trop regretté son choix vu qu'il s'en est vendu plus de 40 millions d'exemplaires. On peut aussi citer Barjavel, avec son roman Une rose au paradis. Je ne sais pas quelle version tu as lue, mais l'histoire de l'inceste entre les deux personnages principaux n'a JAMAIS été écrit comme un truc normal et sublime, au contraire. Mais bon, après, chacun son avis. Celui de l'éditeur, c'était que le texte était publiable en l'état, et l'histoire de l'inceste l'avait particulièrement intéressé.
Re: ntre sness_du_fratDecember 17 2013, 20:39:12 UTC
En fait, il y avait plusieurs points qui me dérangeaient : les droits d'auteur en numérique, qui étaient complètement scandaleux, le prix auquel ils voulaient vendre le livre numérique (3x plus cher que ce que moi je souhaitais), les droits sur d'autres trucs, le fait qu'ils voulaient que j'en sorte un tous les deux mois, l'impossibilité de pouvoir offrir aux lecteurs une version papier édition spéciale comme ce que je souhaitais, etc. L'offre aurait pu être alléchante pour quelqu'un qui n'avait jamais rien publié et qui était complètement inconnu, mais pas pour quelqu'un qui avait passé 12 ans à faire sa promo, qui avait retravaillé son texte avec une éditrice et qui avait eu trois correcteurs pros dessus. Là, j'avais un peu l'impression qu'ils allaient prendre le fichier tel quel, faire "ah, on met notre logo dessus, la couv, c'est bon, on aime ton idée donc on va la reprendre (tant qu'à faire, pourquoi emmerder le graphiste quand l'auteur a déjà fait le boulot), et parce que, quand même, c'est toi qui as écrit le truc, on va te
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Petite question, m'intéressant de plus en plus à l'autoédition... sur ton site tu dis avoir refusé un contrat avec un éditeur, un grand donc j'imagine que le marketing ou le circuit de distribution derrière ne posait pas le souci... Du coup je trouverais vraiment intéressant de savoir, dans ta démarche, quels sont les éléments du contrat qui t'ont fait préférer monter ta propre maison ?
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editeur voulait ss doute modifie l'histoire trop en profondeur (et ok c cool de preferer ton vrai texte au prestige de l'edition) mais l'inceste magnifie c'est juste invendable a l'edition actuelle. Comment tu veux marketer quand c ecrit comme un truc normal et sublime, c bcp plus simple de le vendre dans ASOIAF Martin montrant clairement que c de la degenerescence. En tout cas en tant qu'editeur je pense que j'aurais pas pris ce risque la.
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Des histoires d'inceste, il y en a à la pelle, prenons l'exemple de Fleurs Captives, de Virginia Andrews, je pense que son éditeur n'a pas trop regretté son choix vu qu'il s'en est vendu plus de 40 millions d'exemplaires. On peut aussi citer Barjavel, avec son roman Une rose au paradis. Je ne sais pas quelle version tu as lue, mais l'histoire de l'inceste entre les deux personnages principaux n'a JAMAIS été écrit comme un truc normal et sublime, au contraire.
Mais bon, après, chacun son avis. Celui de l'éditeur, c'était que le texte était publiable en l'état, et l'histoire de l'inceste l'avait particulièrement intéressé.
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