Y'a t'il un pilote dans l'avion ?
Dieu a de quoi avoir les foies.
Je serai pas fier à sa place. Ou en tout cas, sacrément emmerdé.
Il y a quelques siècles, plusieurs milliers de connards se foutaient sur la gueule pour savoir qui avaient raison : tuer pour prier, prier pour tuer, tuer pour tuer sans prier, sorcière, pas sorcière, ce genre de choses. Ca a vraiment duré, parce que les cons se reproduisent vite et qu'il est dur d'enrayer le processus.
Et puis, la religion, c'est passé de mode un temps durant, à cause de l'économie, de l'industrie, des nations et des idéologies qui voulaient se foutre sur la gueule. La boucherie à très grande échelle si vous préférez. Bref. Et puis ça s'est calmé : on ne peut quand même pas faire une guerre ouverte en permanence, comme ça, nous, l'Occident, alors qu'on a inventé tellement de trucs, qu'on est une putain de civilisation, des cadors quoi.
Alors ça se tasse en apparence. Et puis ça revient... Parce que les gentils, ça dure pas longtemps. Les gentils sont bouffés, indubitablement.
Vous pensiez que l'homme n'était plus trop un loup pour l'homme, parce que, tout de même, la civilisation a du bon. Oui, c'est vrai. Il y des signes. Parce que l'homme moderne a inventé, entre autres, la paperasse et la justice. Alors pour faire un génocide, il faut mettre les formes, prendre son temps et préparer tout ça gentiment. Parce que le monde est devenu gentil, alors il faut faire croire que c'est juste un jeu, que c'est pas vraiment vrai, tout ça. Vous y croyez encore ? Dans un monde où un peuple, élu parmi les élus, se permet de faire une guerre préventive sans aucune considération géopolitique, où d'autres élus parmi les élus prennent leurs peuples pour des cons en voulant leur faire signer une constitution bidon aux mains des soudards du capitalisme triomphant, où les fascistes ont définitivement réinsvesti la place au Vatican, vous y croyez encore ?
Arrêtez d'être gentil, c'est plutôt mauvais signe.
On est très nombreux, vous savez. Très insouciants aussi. Et ils n'ont plus peur de nous enculer à sec, de plus en plus forts et de plus en plus profondément.
A cela, vous me direz : oui, d'accord, mais que faire ? Faut-il s'engager ? ...oooh bin non, j'ai pas le temps, et puis... pour quoi ou pour qui ?
Je suis d'accord : prendre ma carte au PS et coller des affiches pour Hollande en espérant qu'on ait pas Sarkozy comme président en 2007, très peu pour moi. Alors quoi ? Attac, LCR, WWF, les zapateros de la Colombie du Sud ou un stage de clown ? "Putain, j'en sais rien et je ferai mieux de fermer ma gueule." J'aimerai pouvoir vous dire : "Oui, il y a une soluce les gars, regardez !"
Et j'ai rien.
Absolument rien, mis à part mes réponses à moi, pour le moment.
Et puisqu'on veut me définir en tant qu'homos erectus, parlons de ce qu'on veut que je sois : un consommateur.
Manger moins, juste à ma faim.
Eteindre les lumières inutiles.
Ne pas gâcher l'eau.
Prendre les transports en commun.
Ne rien acheter de superflu. Juste pour remplacer ce qui n'est plus.
En somme, et en vous passant les autres détails, ne pas surconsommer.
Evitez de manger de la viande tous les jours, parce que c'est cher, parce que ce n'est pas nécessaire à l'organisme, parce que moins on tue pour moi, mieux je me porte.
Je ne parle que de bouffe ou d'habitudes persos, mais tout ça est plus que lié. Et on peut le décliner sur de très nombreux plans. Peut-être qu'une grande partie des gens qui lisent ce post sait de quoi je parle. Après, chacun son choix.
Fais ce que tu veux, mais sois responsable de ce que tu décides de vivre, de manger, de ce que tu vois ou écoutes.
Fermer les yeux devant des panneaux publicitaires, c'est simple.
Eteindre sa télévision ou tout simplement, ne pas en avoir... et bien, c'est encore plus simple. Malgré les apparences.
Ce post est long, sans queue ni tête, peut-être naïf aux yeux de certains, mais merde, le monde devient complètement irréel et dégobillant et suintant, et ce, parce que les apparences tombent et s'emplissent elles même, s'auto-fécondent, que l'obscurantisme, la bêtise et l'ignorance galopent alors même que l'accès à la connaissance n'a jamais été aussi simple pour nous, à la tête.
CAR NOUS SOMMES A LA TETE, ne l'oubliez pas. NOUS SOMMES TOUT EN HAUT DE LA CHAINE. Les riches et les puissants ne sont pas loin, ils ne tiennent que grâce à notre soutien (tacite).
Donnez pour le tsunami, l'argent reviendra un jour au l'autre dans les caisses du Medef.
Pensez qu'un pape prône la paix et la tolérance, et vous (ne) verrez (pas) les millions de morts du sida en Afrique, où ce sont des populations entières qui sont vérolées par la prostitution forcée, le viol, les guerres civiles, les instances occidentales en place qui forgent et forment les gouvernants en place.
Certes le lien de cause à effet peut paraître facile, je le reconnais. Mais est-ce là de la charité pour un humain aussi écouté et entendu que de ne rien faire pour enrayer l'enfer ?
Nous ne vivons plus dans les années 30 ou 50, où "s'engager" avait un sens précis. Nous vivons dans un monde, nous, gentils petits occidentaux, où s'engager est un acte de tous les jours, quotidien, sur soi même, et éventuellement sur les autres.
Gentil petit occidental, s'il te plaît, deviens un guerrier. Pacifique le guerrier, mais guerrier quand même. Car c'est une guerre que tu vis tous les jours.
Je serai pas fier à sa place. Ou en tout cas, sacrément emmerdé.
Il y a quelques siècles, plusieurs milliers de connards se foutaient sur la gueule pour savoir qui avaient raison : tuer pour prier, prier pour tuer, tuer pour tuer sans prier, sorcière, pas sorcière, ce genre de choses. Ca a vraiment duré, parce que les cons se reproduisent vite et qu'il est dur d'enrayer le processus.
Et puis, la religion, c'est passé de mode un temps durant, à cause de l'économie, de l'industrie, des nations et des idéologies qui voulaient se foutre sur la gueule. La boucherie à très grande échelle si vous préférez. Bref. Et puis ça s'est calmé : on ne peut quand même pas faire une guerre ouverte en permanence, comme ça, nous, l'Occident, alors qu'on a inventé tellement de trucs, qu'on est une putain de civilisation, des cadors quoi.
Alors ça se tasse en apparence. Et puis ça revient... Parce que les gentils, ça dure pas longtemps. Les gentils sont bouffés, indubitablement.
Vous pensiez que l'homme n'était plus trop un loup pour l'homme, parce que, tout de même, la civilisation a du bon. Oui, c'est vrai. Il y des signes. Parce que l'homme moderne a inventé, entre autres, la paperasse et la justice. Alors pour faire un génocide, il faut mettre les formes, prendre son temps et préparer tout ça gentiment. Parce que le monde est devenu gentil, alors il faut faire croire que c'est juste un jeu, que c'est pas vraiment vrai, tout ça. Vous y croyez encore ? Dans un monde où un peuple, élu parmi les élus, se permet de faire une guerre préventive sans aucune considération géopolitique, où d'autres élus parmi les élus prennent leurs peuples pour des cons en voulant leur faire signer une constitution bidon aux mains des soudards du capitalisme triomphant, où les fascistes ont définitivement réinsvesti la place au Vatican, vous y croyez encore ?
Arrêtez d'être gentil, c'est plutôt mauvais signe.
On est très nombreux, vous savez. Très insouciants aussi. Et ils n'ont plus peur de nous enculer à sec, de plus en plus forts et de plus en plus profondément.
A cela, vous me direz : oui, d'accord, mais que faire ? Faut-il s'engager ? ...oooh bin non, j'ai pas le temps, et puis... pour quoi ou pour qui ?
Je suis d'accord : prendre ma carte au PS et coller des affiches pour Hollande en espérant qu'on ait pas Sarkozy comme président en 2007, très peu pour moi. Alors quoi ? Attac, LCR, WWF, les zapateros de la Colombie du Sud ou un stage de clown ? "Putain, j'en sais rien et je ferai mieux de fermer ma gueule." J'aimerai pouvoir vous dire : "Oui, il y a une soluce les gars, regardez !"
Et j'ai rien.
Absolument rien, mis à part mes réponses à moi, pour le moment.
Et puisqu'on veut me définir en tant qu'homos erectus, parlons de ce qu'on veut que je sois : un consommateur.
Manger moins, juste à ma faim.
Eteindre les lumières inutiles.
Ne pas gâcher l'eau.
Prendre les transports en commun.
Ne rien acheter de superflu. Juste pour remplacer ce qui n'est plus.
En somme, et en vous passant les autres détails, ne pas surconsommer.
Evitez de manger de la viande tous les jours, parce que c'est cher, parce que ce n'est pas nécessaire à l'organisme, parce que moins on tue pour moi, mieux je me porte.
Je ne parle que de bouffe ou d'habitudes persos, mais tout ça est plus que lié. Et on peut le décliner sur de très nombreux plans. Peut-être qu'une grande partie des gens qui lisent ce post sait de quoi je parle. Après, chacun son choix.
Fais ce que tu veux, mais sois responsable de ce que tu décides de vivre, de manger, de ce que tu vois ou écoutes.
Fermer les yeux devant des panneaux publicitaires, c'est simple.
Eteindre sa télévision ou tout simplement, ne pas en avoir... et bien, c'est encore plus simple. Malgré les apparences.
Ce post est long, sans queue ni tête, peut-être naïf aux yeux de certains, mais merde, le monde devient complètement irréel et dégobillant et suintant, et ce, parce que les apparences tombent et s'emplissent elles même, s'auto-fécondent, que l'obscurantisme, la bêtise et l'ignorance galopent alors même que l'accès à la connaissance n'a jamais été aussi simple pour nous, à la tête.
CAR NOUS SOMMES A LA TETE, ne l'oubliez pas. NOUS SOMMES TOUT EN HAUT DE LA CHAINE. Les riches et les puissants ne sont pas loin, ils ne tiennent que grâce à notre soutien (tacite).
Donnez pour le tsunami, l'argent reviendra un jour au l'autre dans les caisses du Medef.
Pensez qu'un pape prône la paix et la tolérance, et vous (ne) verrez (pas) les millions de morts du sida en Afrique, où ce sont des populations entières qui sont vérolées par la prostitution forcée, le viol, les guerres civiles, les instances occidentales en place qui forgent et forment les gouvernants en place.
Certes le lien de cause à effet peut paraître facile, je le reconnais. Mais est-ce là de la charité pour un humain aussi écouté et entendu que de ne rien faire pour enrayer l'enfer ?
Nous ne vivons plus dans les années 30 ou 50, où "s'engager" avait un sens précis. Nous vivons dans un monde, nous, gentils petits occidentaux, où s'engager est un acte de tous les jours, quotidien, sur soi même, et éventuellement sur les autres.
Gentil petit occidental, s'il te plaît, deviens un guerrier. Pacifique le guerrier, mais guerrier quand même. Car c'est une guerre que tu vis tous les jours.