Titre : La Marque de Smeltings (Le titre est un honteux plagiat de celui d'un livre de Ken Follet, la Marque de Windfield)
Auteur : Frances 1849
Personnages : Dudley Dursley, Piers Polkiss
Catégorie : Défi du mois : Rencontre avec des moldus
Rating : Rien de très choquant, mais R tout de même
Note de l’auteur : Je ne suis pas tout à fait sûre d'
(
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Comments 8
C'est étonnement crédible si on considère le personnage, et j'aime bien ta manière de l'écrire, toute en retenue et en sous-entendus. :D
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Le plus curieux, c'est que cette histoire m'est venue d'un coup à l'esprit, en lisant le défi. Je n'avais jamais envisagé un couple de ce genre.
Effectivement, moi non plus je ne suis pas sûr que ce ne soit pas du HS, mais j'ai decidé de ne pas prendre le défi au sens littéral. Plutôt que des sorciers rencontrent des moldus, j'ai interprété ça comme faites nous voir une autre approche des moldus. Et ça a donné...ça.
Merci encore
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(Je commençais par dire que ton allusion à Ken Follet n'était pas passée inaperçue - je jetterai un oeil à ce qu'il a fait, ce monsieur, ça a l'air intriguant.)
(Et puis, je parlais de... ah oui, les 1 000 mots. Je comprends tout à fait. Je ne suis pas loin d'exécuter une petite danse de la joie moi aussi quand je tombe sur un compte juste.)
Je trouve que cette fic sonne très juste, je n'ai pas besoin de faire un effort d'imagination pour me représenter Dudley agissant de cette façon. Et tous ces petits détails - la peluche, la femme du concierge... ils ne sont pas à strictement parler indispensables, mais ils apportent quelque chose, une atmosphère à la fic.
(Et aussi: je peux faire un drabble sur une réaction de Piers?)
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J'aime beaucoup *ce* roman de Ken Follet. D'ailleurs, il m'a appris le sens de "tartine beurrée" Encore aujourd'hui, je ne peux pas manger un toast sans rigoler toute seule. J'espère qu'il te plaira.
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Le compte est bon (mmh, ca fait très des chiffres et des lettres, ça), selon Word, ce qui est vague (feufeunet m'en donne 1142, je crois).
Comment ça, tu ne veux pas adopter Dudlynouchet ? Je suis la seule à penser que ce sale gosse aurait pu devenir quelqu'un de bien s'il avait eu d'autres parents ? Bon bah tant pis, je le garde pour pouvoir le maltraiter de temps en temps.
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Sérieusement, c'est un pairing qui doit être très compliqué à mettre en place. Et pourtant, là, ça coule de source. Même le ton correspond tellement à ces deux ados. Ca se lit tout seul, un vrai plaisir.
Bravo ! Et... bis ! Encore !
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Etonnament, cette histoire a été crée en quelques heures, depuis l'idée à l'écriture (Mème s'il y a une ou deux fautes et quelques répétitions pas très jolies, mais bon)
Je suis tombée amoureuse de ce couple, parce que dans l'univers d'HP, ce doit être le seul qui n'est confronté à aucun réel problème (à part leurs parents, qui sont particulièrement mauvais dans ce rôle), que ce soit la guerre ou la mort. Et puis, je suis bizarre, il est temps de l'accepter.
Encore merci.
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J'aime le décor (pensionnat non-mixte, etc.) et les réactions de Dudley, qui collent parfaitement au personnage.
Je ne peux m'empêcher de penser, aussi, à ce que ses parents en diraient. Vernon et Pétunia ne brillent pas par leur ouverture d'esprit... (Ah la la, ça m'inspire, tout ça !)
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