Cette histoire était celle de mon personange de GN.
le pire défaut de l'homme est l'inaction. Mettant tout leurs dévoulu sur le bon vouloir des Dieux, ils leurs est facile de croire qu'ils ne sont pas maître de leur destin. C'est faux, et c'est pourquoi la plus part d'entre eux vivent une vie misérable, croyant à une chimère, à un but imaginaire, qu'ils n'atteindront jamais. Il faut agir. Il faut bouger pour pouvoir respirer, vivre. Ils ne ce contente que de tendre les bras vers le ciel en implorant, alors qu'il faudrait tendre aux Dieu une hache de guerre, les confronter, montré qu'ils veulent réellement vivrent.
L'homme est un être lamentable.
C'était toujours la même histoire. La même rengaine. Pourtant, ils leurs étaient possible de changer le court des choses, mais jamais ils ne le firent. C'était déroutant, dégoutant. Une roue entièrement couverte de rouille qui ne s'arrête jamais de rouler, avec lenteur. Pourtant, alors de l'un de ses innobrable tour sur elle même, il eut un changement, soudain, innatendu. La roue s'arrêta quelque instant, de façon presque imperceptiblement, mais ce fut assez pour changer tout le court de l'histoire. Son histoire.
Tout son corps tremblait. Son coeur propulsait dans tout son corps des décharges de sang surpuissantes, lui donnant mal à la tête. De temps en temps, elle revenait à elle, le temps d'un regard interchanger avec ses parents, le temps d'une penser futile. Le seul bruit qui la dérangeait durant sa méditation temporaire, était le sang qui goutait de la lame de sa dague. L'arme toujours bien serrer dans sa main, Maeli ce tenait debout, bien droite, devant son frère, innerte, sur le sol.
Ça avait été facile, trop facile à son goût, lui arrachant tout plaisir. Une fois décider de ce qu'elle allait faire, la jeune fille avait quitter son havre de paix, la petite rivière bordant sa maison, d'où nageaient avec calmes d,énormes poissons. Elle ne prit même pas la peine de cacher la dague qu'elle venait tout juste d'acheter avec le peu des économies emprunté à sa famille, ni la peine de passer par un autre chemin que la porte d'entré pour atteindre son but. Elle croyait pertinament que c'était la solution. Que cette action extrême, allait enfin faire agir ses parents. Sûrement qu'ils la chasserait de la maison, mais au moins, sa mission serait terminer, et Maeli aurait la certitude de c'être tromper sur le compte des humains.
Pauvre folle...
Elle entra chez elle en faisant un boucan digne d'un démon. Ses parents ce retournèrent vers elle, les yeux aussi gros que ceux de poissons, et immédiatements ce plaquèrent au mûr le plus proche en appercevant la dague tendue vers eux.
-Maeli, mais qu'est ce qui te prend?
Aucune réponse. C'était inutile. Elle ce tourna rapidement vers son petit frère. Il se débati quelque peu, criant et cherchant à la fuir, mais une fois la dague bien enfoncé dans son corps, il se tendit de tout son être, s'agrippa à elle, mais ne chercha plus à fuir. Le bruit horrible que la peau ce déchirant fit, donna un frisson la jeune dame. Elle pensait que le corps serait plus facile à transpercer que ça, mais les muscles lui opposèrent une petite résistance.
Le corps tombant au sol fit un bruit sourd, puis la respiration haché de la victime ce répercuta sur les murs, pendant que le sang se répendait sur le sol. Son frère la regarda, et elle s'efforça de ne rien ressentir elle-même à travers la peur et la tristesse de se dernier. Il semblait tellement perdu, si jeune... Le souffle de son frère se fendit, perdit de sa force, puis disparu comme il était arrivé: brusquement.
C'était sa fin.
Maeli releva la tête vers ses parents, le regard dur et décidé, prêt à recevoir leur courroux, mais il se fit attendre... .trop longtemps! Sa mère était cramponner à son mari, les larmes aux yeux, tremblant de tout son être. Son père lui, retenait sa femme, et suppliait sans arrêt sa fille de ne pas les tuer. En aucun cas, ils ne firent quelque chose pour l'arrêter, ou venger leur fils.
C'était plutôt lamentable. Sans attendre elle tourna talont et parti rapidement de la maison, courant sans ce retourner, le coeur battant dans ses tempes. Elle courru ainsi jusqu'à ce que ses jambes ne la porte plus. Elle s'écroula au sol, sans chercher à amortir le choque, sa dague, qui tout ce temps avait été serrer dans sa poigne, valsant plus loin dans un petit bruit cristalin. Le souffle court, elle se redressa de façon féline, sur ses avant bras, fixant la dague un instant. Elle était couverte de sang sèché.