Mon vrai amour avait mon cœur
Mais je ne l’avais pas de lui
Il était la peinture d’un homme
Et j’étais l’observatrice à l’extérieur
Mais, oh - si j’avais les ailes d’une colombe
Et il volerait loin avec moi
Quand je lui dirais
« Je t’adore »
Et je sais pour -
Quoi - ses mains - si douces et parfaites
Pourtant ouvertes et calculatrices
Je veux
(
Read more... )