Et ben je suis mieux là où je suis ! Même en tenant compte du coût de la vie moindre aux USA.
Bon OK, je suis pas chercheuse, je suis une sale fonctionnaire ^^ (au ministère des finances, en plus, celui qui paye correctement ses agents en général car il n'a pas (trop) de problèmes d'argent par rapport aux autres)
Je vous ai déjà parlé de mon très grand ami Jacques ? Non ? Alors... Après avoir passé un doctorat en mathématique (logique - la matière qu'il docte), il a galéré 3 ans à Jussieux puis au RMI, puis est parti 2 ans en post-doc à UCLA (mal payé, mais très content de tous les à-côtés) avant de trouver un poste à sa taille à l'université de... Lausanne. C'est à une heure de chez lui (Annecy, avec une grosse moto), c'est tellement bien payé que même exprimé en Francs Suisses, vous aimeriez avoir la somme en euros, et en plus on le considère. Oui, en Suisse, tu peux être chercheur dans une matière que personne ne connaît (Jacques dit qu'ils sont 10 au monde à comprendre de quoi il s'agit, mais je crois qu'il exagère : ils sont 5), organiser des conférences internationales, être accueilli à tapis rouge par le privé qui veut te donner des sous, et trouver que la vie vaut d'être vécue. Plus verte, la Suisse...
Jacques a du bol. On en trouve toujours, des à qui sourit la chance...*soupir* Ceci dit tous mes amours de Suisse sont venus s'intaller près de chez nous, c'est pas pour rien non plus...^^
embaucher, embrocher...Sand tu me laisses rêveuse...^^
Marrant, des chercheurs qui habitent en France et bossent en Suisse, j'en ai pas mal entendu parler aussi. Les gens du Cern habitent en Provence, va savoir pourquoi ;-)
(Et pis, ils ont aussi des boches, en Suisse. Enfin, des bochophones...)
Bon, sérieux, question emploi dans la recherche, il y a un endroit où parait-il faut pas aller : en Italie. Je me suis laissé dire que la politique de recherche est du même type qu'en France, donc bof-bof, mais le coup de la vie est plus élevé, et les services publics ne sont pas, comment dire, du même niveau...
Comments 15
1700 dollars, ça doit faire 1500 euros. o_O
Et ben je suis mieux là où je suis ! Même en tenant compte du coût de la vie moindre aux USA.
Bon OK, je suis pas chercheuse, je suis une sale fonctionnaire ^^ (au ministère des finances, en plus, celui qui paye correctement ses agents en général car il n'a pas (trop) de problèmes d'argent par rapport aux autres)
Reply
J'aime les sales fonctionnaires...
Reply
Reply
Reply
Reply
Sérieux c'est mon grand crédo du moment : y'a pire ailleurs.
Reply
Reply
Après avoir passé un doctorat en mathématique (logique - la matière qu'il docte), il a galéré 3 ans à Jussieux puis au RMI, puis est parti 2 ans en post-doc à UCLA (mal payé, mais très content de tous les à-côtés) avant de trouver un poste à sa taille à l'université de... Lausanne. C'est à une heure de chez lui (Annecy, avec une grosse moto), c'est tellement bien payé que même exprimé en Francs Suisses, vous aimeriez avoir la somme en euros, et en plus on le considère. Oui, en Suisse, tu peux être chercheur dans une matière que personne ne connaît (Jacques dit qu'ils sont 10 au monde à comprendre de quoi il s'agit, mais je crois qu'il exagère : ils sont 5), organiser des conférences internationales, être accueilli à tapis rouge par le privé qui veut te donner des sous, et trouver que la vie vaut d'être vécue. Plus verte, la Suisse...
Reply
Enfin, faut trouver à s'y faire embocher...
Reply
embaucher, embrocher...Sand tu me laisses rêveuse...^^
Reply
(Et pis, ils ont aussi des boches, en Suisse. Enfin, des bochophones...)
Bon, sérieux, question emploi dans la recherche, il y a un endroit où parait-il faut pas aller : en Italie. Je me suis laissé dire que la politique de recherche est du même type qu'en France, donc bof-bof, mais le coup de la vie est plus élevé, et les services publics ne sont pas, comment dire, du même niveau...
Irène Delse
Reply
Reply
Ca fait un peu plus cher en fonctionnaires pour calculer et gérer le truc car c'est plus complexe, mais au final on s'y retrouve.
Reply
Leave a comment