Tell me this: is this attitude more prevalent in people of the generaton before ours than ours? What about the younger people, do they still nudge-nudge-wink-wink?
Oui, heureusement, en ce qui concerne les "amie-clin- d'oeil-sourire-t'sais-veux-dire", je le vois moins dans notre génération que dans celle de nos parents.
Toutefois, ça arrive encore chez certaines personnes de notre génération. C'est d'ailleurs survenu hier avec une collègue de travail avec laquelle j'étais en train de tisser un lien d'amitié. J'ai malheureusement surestimé son niveau d'ouverture. Et la discussion que nous avons eue était la goutte qui a fait déborder le vase - ou la dernière paille sur le dos du chameau (je ne la connaissais pas celle-là, je vais me coucher moins niaiseuse à soir ;)
I won't assume that a girl hanging out with my lesbian friend is a girlfriend, just as I won't assume that a guy hanging out with a straight girl is a boyfriend, but once I'm privvy to the information, I'm not shy about using the term "girlfriend/boyfriend".Tout à fait
( ... )
Vraiment désolée que tu aie eu à dealer avec ça... *hugs*
Merci pour le réconfort. J'ai bien ventilé, donc j'imagine que je ne devrais pas sauter dans la face de ma collègue de travail jeudi prochain quand je vais lui faire part de ce qui fait problème.
Mais il demeure qu'en gros je n'ai plus de patience à ce niveau là et j'ai décidé de ne plus maintenir de liens avec des personnes bornées.
Not FriendsankhoriteDecember 12 2008, 17:05:18 UTC
I'm with Karine above: "Good lord, who put that last straw on the camel's back?"
*sigh* I'm sorry this is still happening to you. It's been eons since I heard "friend" used this way, even in the Midwest, even in non-urban families (except in obits, see below
( ... )
Re: Not FriendsaislingtheachDecember 12 2008, 18:33:34 UTC
I'm with Karine above: "Good lord, who put that last straw on the camel's back?"
A coworker with whom I was starting to build a friendship. Who seemed to be upfront about prejudices, but then backtracked and went into full denial and resistance mode even though I was going really mellow with her. It comes in a context of me having used a good deal of my patience throughout the years with several close ones. Dealing with strangers, I find, is far easier than dealing with people you love.
"Not That Kind of Partner, Professor."
In our case, it's not gender, it's age. I am older, and while an older man/younger woman combo is dead common in Washington, DC, the Land of the Trophy Wife, the reverse emphatically is not.
I never had to experience that, but I relate. Sexism really is not my thing and this reeks of it.
As a genealogist, "beloved friend" in obituaries makes me want to gnaw my keyboard. Was this person truly a beloved friend? Or were they a same-sex spouse and the grieving family or the overly-timid obit writer is too lily-
( ... )
Ouaip, je suis consciente de ces différences dialecticales entre le français du Québec et celui de France.
À mes yeux, tant qu'il n'y a pas de doubles standards, je suis confortable avec ça. Mais quand il y en a un, grrrrr.
En France, une fille hétéro va dire: «mon ami» pour un homme avec lequel elle est en couple et «un ami» pour désigner un homme avec lequel elle a une relation d'amitié, n'est-ce pas?
Et une fille bisexuelle ou lesbienne va dire: «mon amie» pour une femme avec laquelle elle est en couple et «une amie» pour désigner une femme avec laquelle elle a une relation d'amitié, c'est bien ça?
Le seul hic à première vue, c'est que le «e» silencieux peut contribuer à invisibiliser la réalité femme-femme, parce qu'on interprétera par défaut - hétérosexisme oblige - le «mon amie» comme «mon ami». Le temps qu'un «elle» émerge dans la conversation, à tout le moins ;)
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Oui, heureusement, en ce qui concerne les "amie-clin- d'oeil-sourire-t'sais-veux-dire", je le vois moins dans notre génération que dans celle de nos parents.
Toutefois, ça arrive encore chez certaines personnes de notre génération. C'est d'ailleurs survenu hier avec une collègue de travail avec laquelle j'étais en train de tisser un lien d'amitié. J'ai malheureusement surestimé son niveau d'ouverture. Et la discussion que nous avons eue était la goutte qui a fait déborder le vase - ou la dernière paille sur le dos du chameau (je ne la connaissais pas celle-là, je vais me coucher moins niaiseuse à soir ;)
I won't assume that a girl hanging out with my lesbian friend is a girlfriend, just as I won't assume that a guy hanging out with a straight girl is a boyfriend, but once I'm privvy to the information, I'm not shy about using the term "girlfriend/boyfriend".Tout à fait ( ... )
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Merci pour le réconfort. J'ai bien ventilé, donc j'imagine que je ne devrais pas sauter dans la face de ma collègue de travail jeudi prochain quand je vais lui faire part de ce qui fait problème.
Mais il demeure qu'en gros je n'ai plus de patience à ce niveau là et j'ai décidé de ne plus maintenir de liens avec des personnes bornées.
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Pourquoi est-ce que je devrais avoir une "amie" alors que tout le reste du monde a le droit d'avoir une blonde?
Je suis tannée de me soumettre aux sensibilités des autres. Qu'ils apprennent à m'accepter comme je suis, câlisse!
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So what's that you're saying about blondes, mamzelle?
What I said.
Aisling laughs at my translations.
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"Blonde" is colloquial quebecer french for "girlfriend", but has a definite relationship denotation.
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You laughed for your birthday, remember?
The long translation I attempted of a train trip you took with Babelfish and my scanty knowledge of...Spanish!
:)
So what's the deal with blonde=girlfriend? Does this apply to dark-haired women also? Hmm!
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I'm with Karine above: "Good lord, who put that last straw on the camel's back?"
*sigh* I'm sorry this is still happening to you. It's been eons since I heard "friend" used this way, even in the Midwest, even in non-urban families (except in obits, see below ( ... )
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A coworker with whom I was starting to build a friendship. Who seemed to be upfront about prejudices, but then backtracked and went into full denial and resistance mode even though I was going really mellow with her. It comes in a context of me having used a good deal of my patience throughout the years with several close ones. Dealing with strangers, I find, is far easier than dealing with people you love.
"Not That Kind of Partner, Professor."
In our case, it's not gender, it's age. I am older, and while an older man/younger woman combo is dead common in Washington, DC, the Land of the Trophy Wife, the reverse emphatically is not.
I never had to experience that, but I relate. Sexism really is not my thing and this reeks of it.
As a genealogist, "beloved friend" in obituaries makes me want to gnaw my keyboard. Was this person truly a beloved friend? Or were they a same-sex spouse and the grieving family or the overly-timid obit writer is too lily- ( ... )
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À mes yeux, tant qu'il n'y a pas de doubles standards, je suis confortable avec ça. Mais quand il y en a un, grrrrr.
En France, une fille hétéro va dire:
«mon ami» pour un homme avec lequel elle est en couple
et
«un ami» pour désigner un homme avec lequel elle a une relation d'amitié,
n'est-ce pas?
Et une fille bisexuelle ou lesbienne va dire:
«mon amie» pour une femme avec laquelle elle est en couple
et
«une amie» pour désigner une femme avec laquelle elle a une relation d'amitié,
c'est bien ça?
Le seul hic à première vue, c'est que le «e» silencieux peut contribuer à invisibiliser la réalité femme-femme, parce qu'on interprétera par défaut - hétérosexisme oblige - le «mon amie» comme «mon ami». Le temps qu'un «elle» émerge dans la conversation, à tout le moins ;)
P.S. En passant, j'aime beaucoup ton icone :D
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J'aimerais valider pour être certaine :)
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